Alexandre le grand Rouamba, président de l'UCAP-AO. (Ph: Dr)

L’objectif est de proposer des approches de solutions contre l’érosion côtière, la désertification et l’insécurité dans la sous-région ouest-africaine. Toutefois, cette rencontre est une occasion pour renforcer les capacités des professionnels des médias en matière de lutte contre l’érosion côtière, la désertification et l’insécurité dans un esprit de responsabilité et de solidarité.

A l’ouverture de ces assises, Alexandre Le grand Rouamba, président de l’Ucap-Ao, s’est dit heureux de ce « Refresher Program » porté par l’Ucap Burkina Faso, depuis 2016 et dont l’organisation a été rétrocédée à l’Ucap Afrique de l’Ouest dont il préside les destinées depuis septembre 2021.

Quant au ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement togolais, Akodah Ayewouadan, il s’est réjoui que le Togo abrite ce Refresher Program. Pour ce faire, il invite les médias à être justes, à analyser et comprendre avant d’informer pour ne pas créer la psychose au sein de la population.

Une vue de la délégation de l'Association ivoirienne des journalistes et communicateurs catholiques. (Ph: Dr)

« Nous attendons des recommandations fortes au sortir de ce séminaire enrichissant. Parce que la côte de l’Afrique de l’ouest, de la Mauritanie au Bénin souffre du phénomène de l’érosion côtière avec un risque d’accentuation sur les effets du changement climatique, de la pluviométrie à l’augmentation du niveau de la mer », a-t-il précisé.

Cette rencontre a été rehaussée par la présence de Mgr Nicodème Barrigah-Benissan, archevêque métropolitain de Lomé et président du Conseil justice et paix et bien d’autres autorités togolaises.

Envoyée spéciale au Togo