La photo de famille à l’issue des assises. (Ph: Dr)
Sécurité : La situation connaît une nette amélioration à Abobo
La sécurité dans la commune d’Abobo connaît une nette amélioration. C’est ce qui ressort de la 5e édition des assises sur la sécurité dans cette commune tenue le mardi 16 août 2022, à la salle des mariages de la mairie sur le thème : « Pour une sécurité communautaire efficace à Abobo ».
Ces assises ont réuni les forces de défense et de sécurité (Gendarmerie, police), les chefs de communautés ainsi que les comités d’auto-défense.
Le 3e adjoint au maire, Koné Siaka, a, au nom du maire Kandia Camara, exprimé sa gratitude au Président de la République, Alassane Ouattara, et au ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général Vagondo Diomandé, grâce à qui pratiquement tous les quartiers d’Abobo sont pourvus en commissariat.
Selon lui, l’objectif de ces assises est de rapprocher les forces de défense et de sécurité des populations, de créer la confiance et surtout d’amener les populations à collaborer avec la gendarmerie et la police à travers l’information.
Abondant dans son sens, le Commissaire principal de police Digbeu Simon, chef adjoint du district d’Abobo, a rappelé que la gendarmerie et la police travaillent de concert en vue d’améliorer la sécurité dans la commune. « La sécurité effectivement est très bonne. Nos devanciers ont fait un travail impeccable. A ce jour, le phénomène des enfants en conflit avec la loi, est désormais une vieille histoire. Nous avons maintenant comme dans toutes les grandes villes, la délinquance juvénile que nous combattons au jour le jour », a-t-il déclaré, soulignant que ces assises permettront d’avoir une vision commune de la sécurité.
Mais avant, le Mdl chef Gnépa Jean, chef de casernement de la Brigade de gendarmerie territoriale à Abobo, a fait savoir que la sécurité est l’affaire de tous. « Nous faisons la gendarmerie de proximité, la police également, pour rassurer les populations afin de mieux véhiculer les informations en ce qui concerne la sécurité », a-t-il précisé. Aussi, dit-il, les comités de surveillance substituent par moment les forces de défense et de sécurité dans les sous-quartiers, en leur donnant des informations. « Cela nous permet de mieux circonscrire le volet sécuritaire », explique-t-il.
Toutefois, il précise que ces comités d’auto-défense n’ont pas le droit de perquisitionner le domicile d’autrui, de violenter un individu et surtout de se substituer à l’autorité publique.
Koné Ibrahim, président du comité de gestion de veille et de vigilance à Abobo-Bocabo, a fait savoir que son comité travaille en étroite collaboration avec la police, la gendarmerie, le Ccdo. « Lorsque nous interpelons un individu suspect, nous le neutralisons et faisons appel à la police ».
Le 3e adjoint au maire, Koné Siaka, a, au nom du maire Kandia Camara, exprimé sa gratitude au Président de la République, Alassane Ouattara, et au ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général Vagondo Diomandé, grâce à qui pratiquement tous les quartiers d’Abobo sont pourvus en commissariat.
Selon lui, l’objectif de ces assises est de rapprocher les forces de défense et de sécurité des populations, de créer la confiance et surtout d’amener les populations à collaborer avec la gendarmerie et la police à travers l’information.
Abondant dans son sens, le Commissaire principal de police Digbeu Simon, chef adjoint du district d’Abobo, a rappelé que la gendarmerie et la police travaillent de concert en vue d’améliorer la sécurité dans la commune. « La sécurité effectivement est très bonne. Nos devanciers ont fait un travail impeccable. A ce jour, le phénomène des enfants en conflit avec la loi, est désormais une vieille histoire. Nous avons maintenant comme dans toutes les grandes villes, la délinquance juvénile que nous combattons au jour le jour », a-t-il déclaré, soulignant que ces assises permettront d’avoir une vision commune de la sécurité.
Mais avant, le Mdl chef Gnépa Jean, chef de casernement de la Brigade de gendarmerie territoriale à Abobo, a fait savoir que la sécurité est l’affaire de tous. « Nous faisons la gendarmerie de proximité, la police également, pour rassurer les populations afin de mieux véhiculer les informations en ce qui concerne la sécurité », a-t-il précisé. Aussi, dit-il, les comités de surveillance substituent par moment les forces de défense et de sécurité dans les sous-quartiers, en leur donnant des informations. « Cela nous permet de mieux circonscrire le volet sécuritaire », explique-t-il.
Toutefois, il précise que ces comités d’auto-défense n’ont pas le droit de perquisitionner le domicile d’autrui, de violenter un individu et surtout de se substituer à l’autorité publique.
Koné Ibrahim, président du comité de gestion de veille et de vigilance à Abobo-Bocabo, a fait savoir que son comité travaille en étroite collaboration avec la police, la gendarmerie, le Ccdo. « Lorsque nous interpelons un individu suspect, nous le neutralisons et faisons appel à la police ».