Matérialisation des frontières terrestre et maritime Côte d'Ivoire-Ghana : Les membres des Commissions techniques mixtes officiellement installés
Le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé a présidé, le mardi 23 août 2022, à Abidjan - Plateau, la cérémonie d’installation officielle des Commissions Techniques Mixtes de Réaffirmation de la frontière terrestre et de mise en œuvre de la décision du Tribunal International du Droit de la Mer sur la frontière maritime, entre la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Étaient également présents à cette cérémonie, le secrétaire exécutif de la Commission nationale des Frontières de la Côte d'Ivoire (SE-CNFCI), Diakalidia Konaté, et le coordonnateur national de la Commission des Frontières du Ghana, Emmanuel Kotia.
Représentant le Premier Ministre Patrick Achi, le ministre Vagondo Diomandé a indiqué que l’enjeu réel de la mise en place de ces Commissions techniques mixtes est la préservation de la paix, le développement harmonieux et l’intégration des deux pays.
« Il est évident et indéniable que pour préserver la paix et la cohésion sociale entre nos deux pays, il est indispensable de connaître les limites exactes de nos territoires. Mais, ces limites ne doivent pas être un mur à ériger ; mais au contraire, une passerelle qui permettra d’assurer la sécurité, de maintenir la paix et de renforcer la cohésion sociale et la coopération transfrontalière dans tous les domaines dans nos zones frontalières, en vue de rendre effective l’intégration de nos deux pays », a-t-il insisté.
Par ailleurs, il a exhorté les membres de ces deux Commissions techniques mixtes « à un plein engagement dans leurs missions respectives au profit des deux pays ; et à œuvrer à faire en sorte que tout au long de ces différents processus, ils puissent travailler dans un esprit de fraternité, de franche collaboration et de préservation des bonnes relations qui lient les deux États ».
Diakalidia Konaté a rappelé que dans le cadre du renforcement de la coopération transfrontalière, les deux pays ont conjointement organisé la célébration de la Journée africaine des Frontières dans la sous-préfecture de Noé (côté Côte d’Ivoire) et d’Elubo (côté Ghana).
A l’en croire, les deux pays ont posé la première pierre de la maison de l’intégration et de bon voisinage dans la localité de Noé. Cet édifice accueillera désormais les communautés ivoirienne et ghanéenne en plus de prendre en charge les personnes en détresse en transit à la frontière commune.
Représentant le Premier Ministre Patrick Achi, le ministre Vagondo Diomandé a indiqué que l’enjeu réel de la mise en place de ces Commissions techniques mixtes est la préservation de la paix, le développement harmonieux et l’intégration des deux pays.
« Il est évident et indéniable que pour préserver la paix et la cohésion sociale entre nos deux pays, il est indispensable de connaître les limites exactes de nos territoires. Mais, ces limites ne doivent pas être un mur à ériger ; mais au contraire, une passerelle qui permettra d’assurer la sécurité, de maintenir la paix et de renforcer la cohésion sociale et la coopération transfrontalière dans tous les domaines dans nos zones frontalières, en vue de rendre effective l’intégration de nos deux pays », a-t-il insisté.
Par ailleurs, il a exhorté les membres de ces deux Commissions techniques mixtes « à un plein engagement dans leurs missions respectives au profit des deux pays ; et à œuvrer à faire en sorte que tout au long de ces différents processus, ils puissent travailler dans un esprit de fraternité, de franche collaboration et de préservation des bonnes relations qui lient les deux États ».
Diakalidia Konaté a rappelé que dans le cadre du renforcement de la coopération transfrontalière, les deux pays ont conjointement organisé la célébration de la Journée africaine des Frontières dans la sous-préfecture de Noé (côté Côte d’Ivoire) et d’Elubo (côté Ghana).
A l’en croire, les deux pays ont posé la première pierre de la maison de l’intégration et de bon voisinage dans la localité de Noé. Cet édifice accueillera désormais les communautés ivoirienne et ghanéenne en plus de prendre en charge les personnes en détresse en transit à la frontière commune.