Simone Gbagbo à propos de son parti : « Nous ne sommes pas des forcenés de l’opposition »
La présidente du Mouvement des générations capables (Mgc), l’ancienne Première dame, Simone Ehivet Gbagbo, a réitéré le 30 août 2022, sa volonté de faire entendre la voix de son parti dans le débat politique ivoirien. C’était au cours d’un entretien exclusif qu’elle a accordé à France 24. « Nous ne sommes pas des forcenés de l’opposition », a déclaré Mme Simone Gbagbo.
La présidente du Mgc a expliqué que son parti restera dans l’opposition tout en demeurant une force de « proposition » constructive pour le pays.
Relativement à sa volonté de poursuivre son combat politique dans un parti différent de celui de l’ancien Président Laurent Gbagbo, l’ex-Première dame a dit ne pas fermer la porte à une éventuelle collaboration avec le Parti des peuples africains Côte d’Ivoire (Ppa-Ci). Parce qu’a-t-elle précisé, « c’est l’avenir qui nous le dira ».
Pour apaiser davantage le climat politique, Simone Gbagbo a souligné la nécessité d’établir certaines « vérités », notamment les causes de la crise, les réparations dues aux victimes qui ont été « spoliées de leurs biens » et la clarification des responsabilités dans la crise qu’a connue le pays 20 ans en arrière.
En outre, la présidente du Mgc a déclaré que son parti présentera un candidat à l’élection présidentielle de 2025. Elle a précisé qu’elle se plierait au choix de sa base si une autre personnalité qu'elle est désignée.
Relativement à sa volonté de poursuivre son combat politique dans un parti différent de celui de l’ancien Président Laurent Gbagbo, l’ex-Première dame a dit ne pas fermer la porte à une éventuelle collaboration avec le Parti des peuples africains Côte d’Ivoire (Ppa-Ci). Parce qu’a-t-elle précisé, « c’est l’avenir qui nous le dira ».
Pour apaiser davantage le climat politique, Simone Gbagbo a souligné la nécessité d’établir certaines « vérités », notamment les causes de la crise, les réparations dues aux victimes qui ont été « spoliées de leurs biens » et la clarification des responsabilités dans la crise qu’a connue le pays 20 ans en arrière.
En outre, la présidente du Mgc a déclaré que son parti présentera un candidat à l’élection présidentielle de 2025. Elle a précisé qu’elle se plierait au choix de sa base si une autre personnalité qu'elle est désignée.