Tennis : Eliakim Coulibaly, déjà une légende !
Le 10 janvier 2021, il déclarait dans Fraternité Matin qu’il se donnait « trois ans pour bousculer la hiérarchie mondiale ». Huit mois plus tard, en septembre 2022, Eliakim Coulibaly fait parler de lui dans le monde. A peine atterrit-il sur le circuit masculin de la Fédération internationale de tennis (Itf) que Eliakim Coulibaly prit ses marques.
Le jeune tennisman ivoirien (20 ans) a remporté les deux tournois Futures organisés il y a deux semaines dans la ville tunisienne de Monastir. Ces deux succès n’ont pas échappé aux statisticiens de la Fédération internationale de tennis (Itf).
C’est qu’en plus de réaliser un doublé aussi retentissant sur le circuit international de tennis de l’Itf, Eliakim Coulibaly est devenu le meilleur tennisman de l’histoire de la Côte d’Ivoire. En tout cas, au niveau des titres glanés, le fils de Dieudonné Coulibaly (enseignant de tennis) n’a pas son pareil.
En remportant ses troisième et quatrième titres Itf en simple au M15, Monastir, Coulibaly a d’abord égalé le record de Valentin Sanon, ancien numéro 1 national et 339e mondial, avant de le battre. Valentin a remporté dans sa carrière trois titres sur l’Itf world tennis tour entre 2003 et 2005. Avant lui, Claude N’Goran, avec un titre gagné en 1998, avait ouvert la voie.
Ce qui passionne les puristes chez Eliakim, classé en ce moment numéro 781 mondial, c’est qu’il le fait avec la manière. A Monastir, il a enregistré, coup sur coup, 10 victoires et gagné 18 sets consécutifs au passage. Ce qui lui fait un total de 27 victoires dans sa carrière. Une performance énorme !
Champion d’Afrique des juniors en 2019, Eliakim Coulibaly est un pur produit de la politique mise en place par la Fédération ivoirienne de tennis (Fit) à travers les écoles fédérales. Il a été découvert en pleine pandémie de Covid-19 par Mary Pierce, la double championne du Grand Chelem en simple, alors qu’il était au centre de hautes performances de Casablanca (Maroc). Depuis, Eliakim Coulibaly a intégré la team Mouratoglou, à Nice, où il fourbit ses armes.
« Ce n’était pas gagné. J’avais en face des joueurs de renom. Aziz Dougaz, par exemple, est un bon joueur bien classé. Mais c’est pour gagner ce genre de tournoi face à des joueurs de haut calibre que je travaille tous les jours à l’entraînement. Grand merci à mon staff, à tous ceux qui m’aident à progresser dans ce monde impitoyable », confie le joueur qui garde toujours en tête son objectif, qui est de se faire un nom et rendre fières la Côte d’Ivoire et toute l’Afrique. En tout cas, la légende ne fait que commencer.
C’est qu’en plus de réaliser un doublé aussi retentissant sur le circuit international de tennis de l’Itf, Eliakim Coulibaly est devenu le meilleur tennisman de l’histoire de la Côte d’Ivoire. En tout cas, au niveau des titres glanés, le fils de Dieudonné Coulibaly (enseignant de tennis) n’a pas son pareil.
En remportant ses troisième et quatrième titres Itf en simple au M15, Monastir, Coulibaly a d’abord égalé le record de Valentin Sanon, ancien numéro 1 national et 339e mondial, avant de le battre. Valentin a remporté dans sa carrière trois titres sur l’Itf world tennis tour entre 2003 et 2005. Avant lui, Claude N’Goran, avec un titre gagné en 1998, avait ouvert la voie.
Ce qui passionne les puristes chez Eliakim, classé en ce moment numéro 781 mondial, c’est qu’il le fait avec la manière. A Monastir, il a enregistré, coup sur coup, 10 victoires et gagné 18 sets consécutifs au passage. Ce qui lui fait un total de 27 victoires dans sa carrière. Une performance énorme !
Champion d’Afrique des juniors en 2019, Eliakim Coulibaly est un pur produit de la politique mise en place par la Fédération ivoirienne de tennis (Fit) à travers les écoles fédérales. Il a été découvert en pleine pandémie de Covid-19 par Mary Pierce, la double championne du Grand Chelem en simple, alors qu’il était au centre de hautes performances de Casablanca (Maroc). Depuis, Eliakim Coulibaly a intégré la team Mouratoglou, à Nice, où il fourbit ses armes.
« Ce n’était pas gagné. J’avais en face des joueurs de renom. Aziz Dougaz, par exemple, est un bon joueur bien classé. Mais c’est pour gagner ce genre de tournoi face à des joueurs de haut calibre que je travaille tous les jours à l’entraînement. Grand merci à mon staff, à tous ceux qui m’aident à progresser dans ce monde impitoyable », confie le joueur qui garde toujours en tête son objectif, qui est de se faire un nom et rendre fières la Côte d’Ivoire et toute l’Afrique. En tout cas, la légende ne fait que commencer.