Haïti: plusieurs pays ferment leurs ambassades pour raisons sécuritaires

Haitians protesting high prices and shortages burn tires on a street of Port-au-Prince on July 13, 2022. - Soaring prices, food and fuel shortages and rampant gang violence are accelerating a brutal downward spiral in the security situation in the Haitian capital Port au Prince,  and threatening the humanitarian aid the increasingly desperate population relies on. (Photo by Richard Pierrin / AFP)
Haitians protesting high prices and shortages burn tires on a street of Port-au-Prince on July 13, 2022. - Soaring prices, food and fuel shortages and rampant gang violence are accelerating a brutal downward spiral in the security situation in the Haitian capital Port au Prince, and threatening the humanitarian aid the increasingly desperate population relies on. (Photo by Richard Pierrin / AFP)
Haitians protesting high prices and shortages burn tires on a street of Port-au-Prince on July 13, 2022. - Soaring prices, food and fuel shortages and rampant gang violence are accelerating a brutal downward spiral in the security situation in the Haitian capital Port au Prince, and threatening the humanitarian aid the increasingly desperate population relies on. (Photo by Richard Pierrin / AFP)

Haïti: plusieurs pays ferment leurs ambassades pour raisons sécuritaires

Le 17/09/22 à 00:17
modifié 17/09/22 à 11:56
Les ambassades - notamment celles du Canada et de la République dominicaine - ferment les unes après les autres. Parce que la crise née de l'augmentation des prix du carburant - le diesel et le kérosène passent d'environ 350 gourdes (2,9 euros) à près de 670 gourdes (5,5 euros) - n'en finit plus d'embraser les rues, depuis que le Premier ministre, Armel Henry, a fait savoir que son gouvernement ne dispose pas des ressources financières nécessaires à la subvention du carburant.

Sur compte Twitter, Le ministère de la Communication a indiqué que " Le financement pour continuer l'importation des produits pétroliers s'élève à 9 milliards de gourdes par mois, soit deux fois plus que la masse salariale mensuelle de l'Etat».

Le 17/09/22 à 00:17
modifié 17/09/22 à 11:56