Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d'Ivoire, à la 77e session de l'Assemblée générale des Nations unies. (Ph: Dr)
Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d'Ivoire, à la 77e session de l'Assemblée générale des Nations unies. (Ph: Dr)
Guerre en Ukraine : Alassane Ouattara appelle à la cessation immédiate et définitive des hostilités
Dans son adresse à la 77e session de l’Assemblée générale des Nations unies le mercredi 21 septembre 2022, à New York, aux Etats-Unis, le Président ivoirien, Alassane Ouattara, a appelé à la fin de la guerre en Ukraine.
« La Côte d’Ivoire qui n’a de cesse de prôner la coexistence pacifique ainsi que le recours au dialogue dans la recherche de solutions aux différends entre les nations, tient à renouveler son appel à la cessation immédiate et définitive des hostilités en Ukraine », a exhorté le Chef de l’Etat ivoirien.
Pour lui, cette guerre a de sérieuses conséquences économiques, financières et sociales sur les pays africains. Car la hausse du prix du pétrole et les difficultés d’approvisionnement des marchés en céréales et en engrais ont entraîné une inflation généralisée, une hausse des taux d’intérêt sur les marchés internationaux et un ralentissement de la croissance mondiale.
« Pour plusieurs pays africains, ce conflit se traduit par une difficulté à financer leurs économies et une augmentation des prix des produits de première nécessité et des cas de famine. Ce, en raison de leur dépendance aux céréales et aux engrais en provenance d’Ukraine et de Russie », a déploré Alassane Ouattara.
Pour lui, cette guerre a de sérieuses conséquences économiques, financières et sociales sur les pays africains. Car la hausse du prix du pétrole et les difficultés d’approvisionnement des marchés en céréales et en engrais ont entraîné une inflation généralisée, une hausse des taux d’intérêt sur les marchés internationaux et un ralentissement de la croissance mondiale.
« Pour plusieurs pays africains, ce conflit se traduit par une difficulté à financer leurs économies et une augmentation des prix des produits de première nécessité et des cas de famine. Ce, en raison de leur dépendance aux céréales et aux engrais en provenance d’Ukraine et de Russie », a déploré Alassane Ouattara.