Formation de jeunes Ivoiriens en Inde : Le ministre Koffi N’Guessan satisfait de la coopération technique
Dans cet esprit, Koffi N’Guessan s’est dit reconnaissant de la disponibilité de l’ambassadeur de l’Inde Sailas Thangal, pour les formations envisagées à l’attention des moins jeunes et des jeunes ivoiriens en Inde. « Ce sont des formations axées, entre autres, sur la gouvernance des structures publiques, le traitement des déchets électroniques et la technologie de recyclage, les systèmes énergétiques, les objectifs de développement durable, ainsi que les propositions de stages dans bien de domaines », a noté Koffi N’Guessan. Et de rassurer l’ambassadeur que : « désormais, les différentes opportunités seront saisies et mises à la disposition de nos populations, notamment les jeunes dans le but de renforcer leurs aptitudes professionnelles »
Il faut souligner que Itec est un programme bilatéral d’assistance du gouvernement indien qui permet aux candidats internationaux des pays en développement de participer à des cours de formation, des stages ou des formations de renforcement de capacité professionnelle.
100 bourses dans différents domaines
L’ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire, Sailas Thangal, a pour sa part précisé que cette Journée a pour objectif de permettre aux anciens étudiants qui ont bénéficié du programme Itec, de présenter leurs expériences et d’amener ainsi d’autres jeunes à s’intéresser à ces différentes formations.
Sailas Thangal a indiqué que dans le cadre de ce programme de formation, l’Inde met à la disposition de la Côte d’Ivoire, 100 bourses dans différents domaines notamment le développement rural, la mangement, l’entreprenariat, l’informatique. Pour lui, ce programme permettra de mieux faire connaître l’Inde pour une coopération gagnante entre les deux pays.
Lors de cette cérémonie, une présentation vidéo sur les différentes formations et les informations sur le programme Itec a été diffusée. Des anciens bénéficiaires du programme ont également partagé leurs expériences.
De nombreux étudiants ivoiriens, des journalistes, des professionnels de la communication, ou des agents d’autres secteurs d’activité y ont participé.