Taekwondo/Succession du président Bamba Cheick Daniel: Remarck-Bayou Charles, un duo de champions à la conquête de la fédération
Lors de la réunion de validation des candidatures, jeudi dernier, avec la Commission électorale indépendante, Abdoulaye Patrice Remarck et Bayou Charles étaient assis côte à côte. La complicité que dégageaient les deux Grands maîtres de Taekwondo en dit long sur leur engagement et leur détermination à diriger la fédération.
Un an après sa première tentative infructueuse, Patrice Remarck profite de l’annulation de l’élection de Jean-Marc Yacé par la justice, pour revenir frapper à la porte de la faîtière. Cette fois, le champion du monde militaire des-76 Kg en 1991, deux fois médaillé de bronze aux championnats du monde Séoul 1985 (-76 Kg) et Copenhague 1993 (-73 Kg) a pris toutes ses précautions.
En étoffant son staff de campagne, avec l’arrivée de Bayou Charles, un Grand maître qui jouit d’une bonne réputation dans le pays, il rallie à sa cause de nouveaux électeurs, sympathisants de celui que l’on considère comme l’un des taekwondo-in les plus doués de sa génération (Bayou Charles).
Ces deux gloires passées experts de haut niveau ont été pour beaucoup dans l'ascension internationale de la Côte d’Ivoire, à côté de l'entregent et du leadership développé par le président Bamba Cheick Daniel.
Pour atteindre ses objectifs lors de la 8e édition de la Coupe du monde francophone Abidjan 2012 et les Championnats du monde par équipe, à Abidjan en 2013, le président Bamba Cheick Daniel avait fait venir des États-Unis Me Charles Bayou pour assister Me Patrice Remarck dans la préparation des athlètes ivoiriens.
On les avait vus à l’œuvre avec Ruth Gbagbi, Banassa Diomandé, chez les dames et Anicet Kassi, Logbo Peken, Tadjou Wasiu, Cissé Cheick Sallah, Seydou Gbané, chez les hommes. La conséquence est connue.
La Côte d’Ivoire avait terminé deuxième (pays francophone), derrière la France. Ils ont occupé le même rang derrière le Mexique (au championnat du monde par équipe).
Ayant contribué au rayonnement de la Côte d’Ivoire, ces deux gloires du taekwondo ont juré de pérenniser l’œuvre du président Bamba Cheick Daniel. En plus, Patrice Abdoulaye Remarck revendique désormais le statut d’administrateur du sport.
Un diplôme qu’il a obtenu à l’école polytechnique de Lausanne. Mais aussi 46 ans d’expérience de très haut niveau. Ce qui lui permet d’avoir des ambitions pour diriger la Fédération ivoirienne de taekwondo. « Nous voulons redonner au taekwondo ce qu'il nous a permis d'avoir », déclarent Bayou et Remarck.
En plus, ils ont connu toutes les arcanes taekwondo : athlète, entraîneur-formateur, directeur technique national, il ne reste plus que le fauteuil de président.
En étoffant son staff de campagne, avec l’arrivée de Bayou Charles, un Grand maître qui jouit d’une bonne réputation dans le pays, il rallie à sa cause de nouveaux électeurs, sympathisants de celui que l’on considère comme l’un des taekwondo-in les plus doués de sa génération (Bayou Charles).
Ces deux gloires passées experts de haut niveau ont été pour beaucoup dans l'ascension internationale de la Côte d’Ivoire, à côté de l'entregent et du leadership développé par le président Bamba Cheick Daniel.
Pour atteindre ses objectifs lors de la 8e édition de la Coupe du monde francophone Abidjan 2012 et les Championnats du monde par équipe, à Abidjan en 2013, le président Bamba Cheick Daniel avait fait venir des États-Unis Me Charles Bayou pour assister Me Patrice Remarck dans la préparation des athlètes ivoiriens.
On les avait vus à l’œuvre avec Ruth Gbagbi, Banassa Diomandé, chez les dames et Anicet Kassi, Logbo Peken, Tadjou Wasiu, Cissé Cheick Sallah, Seydou Gbané, chez les hommes. La conséquence est connue.
La Côte d’Ivoire avait terminé deuxième (pays francophone), derrière la France. Ils ont occupé le même rang derrière le Mexique (au championnat du monde par équipe).
Ayant contribué au rayonnement de la Côte d’Ivoire, ces deux gloires du taekwondo ont juré de pérenniser l’œuvre du président Bamba Cheick Daniel. En plus, Patrice Abdoulaye Remarck revendique désormais le statut d’administrateur du sport.
Un diplôme qu’il a obtenu à l’école polytechnique de Lausanne. Mais aussi 46 ans d’expérience de très haut niveau. Ce qui lui permet d’avoir des ambitions pour diriger la Fédération ivoirienne de taekwondo. « Nous voulons redonner au taekwondo ce qu'il nous a permis d'avoir », déclarent Bayou et Remarck.
En plus, ils ont connu toutes les arcanes taekwondo : athlète, entraîneur-formateur, directeur technique national, il ne reste plus que le fauteuil de président.