Taekwondo : Pourquoi il fallait reprendre les élections
Ça y est ! La communauté de taekwondo-in va enfin élire son président. Depuis le départ du président Bamba Cheick Daniel de la tête de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd), la maison n’a cessé de vaciller.
La tempête que l’ancien ministre de l’Administration du territoire, aujourd’hui patron de la très importante Agence foncière rurale (Afor) contenait aisément en son temps, avait recommencé. Les nouveaux occupants n’ont pas eu le coffre suffisant pour sauver les meubles.
Et un triste matin, un commissaire de justice s’est présenté devant la porte pour mettre tout le monde dehors. Aux motifs que les conditions d’un scrutin transparent n’étaient pas réunies lors de l’assemblée générale élective de 2021. Aussi facilement que ça.
Jean-Marc Yacé avait pourtant gagné proprement les élections, dans les urnes. Mais ses adversaires, très à l’aise dans les arcanes de la justice, ont eu sa peau. A coup de décisions venant du temple de Thémis, ils étaient parvenus à paralyser la Fédération.
Au grand dam de l’Union africaine de taekwondo (Aftu) et de la Fédération mondiale, qui, parce que la Côte d’Ivoire est devenue le fleuron de leur discipline, suivent de près tout ce qui se passe dans le pays de Ruth Gbagbi et Cheick Cissé Salah.
Ce sont ces instances internationales qui ont attiré l’attention du gouvernement ivoirien sur le drame que vivait sur le taekwondo ivoirien. Mais aussi le danger qui guettait la Côte d’Ivoire. Puisqu’elles s’apprêtaient, à leur corps défendant, à prendre des sanctions à l’encontre du pays.
Imaginez la Côte d’Ivoire exclue des activités internationales. Une éventualité que ne veut pas envisager le ministre des Sports, Paulin Claude Danho.
En effet, le taekwondo, depuis huit ans, est la première chance, en termes de médailles, du pays lors des grands rendez-vous sportifs. C’est le sport qui, aujourd’hui, traduit le mieux la belle dynamique que connaît la Côte d’Ivoire.
Du coup, le gouvernement n’a pas eu de mal à s’aligner sur la décision des faîtières mondiales de reprendre les élections de novembre 2021, en suivant la lettre des textes de la Fédération. C’est ce qu’est en train de réaliser la Commission électorale indépendante présidée par Dr Honoré Guié Koffi. Une personnalité rompue à cet exercice. Espérant que cela va faire taire définitivement tous les bruits dans le taekwondo ivoirien.
Et un triste matin, un commissaire de justice s’est présenté devant la porte pour mettre tout le monde dehors. Aux motifs que les conditions d’un scrutin transparent n’étaient pas réunies lors de l’assemblée générale élective de 2021. Aussi facilement que ça.
Jean-Marc Yacé avait pourtant gagné proprement les élections, dans les urnes. Mais ses adversaires, très à l’aise dans les arcanes de la justice, ont eu sa peau. A coup de décisions venant du temple de Thémis, ils étaient parvenus à paralyser la Fédération.
Au grand dam de l’Union africaine de taekwondo (Aftu) et de la Fédération mondiale, qui, parce que la Côte d’Ivoire est devenue le fleuron de leur discipline, suivent de près tout ce qui se passe dans le pays de Ruth Gbagbi et Cheick Cissé Salah.
Ce sont ces instances internationales qui ont attiré l’attention du gouvernement ivoirien sur le drame que vivait sur le taekwondo ivoirien. Mais aussi le danger qui guettait la Côte d’Ivoire. Puisqu’elles s’apprêtaient, à leur corps défendant, à prendre des sanctions à l’encontre du pays.
Imaginez la Côte d’Ivoire exclue des activités internationales. Une éventualité que ne veut pas envisager le ministre des Sports, Paulin Claude Danho.
En effet, le taekwondo, depuis huit ans, est la première chance, en termes de médailles, du pays lors des grands rendez-vous sportifs. C’est le sport qui, aujourd’hui, traduit le mieux la belle dynamique que connaît la Côte d’Ivoire.
Du coup, le gouvernement n’a pas eu de mal à s’aligner sur la décision des faîtières mondiales de reprendre les élections de novembre 2021, en suivant la lettre des textes de la Fédération. C’est ce qu’est en train de réaliser la Commission électorale indépendante présidée par Dr Honoré Guié Koffi. Une personnalité rompue à cet exercice. Espérant que cela va faire taire définitivement tous les bruits dans le taekwondo ivoirien.