Touré Boubakari, président de l’Abidjan basket-ball club. (Ph: Dr)
Touré Boubakari, président de l’Abc : "On a besoin de moyens pour faire honneur à la Côte d’Ivoire"
L'Abidjan basket-ball club se prépare à défendre les couleurs ivoiriennes à la 3e édition de la Basket-ball Africa League (Bal) du 18 au 23 octobre à Niamey, au Niger.
Comment se porte l’équipe de l’Abidjan basket-ball club à la veille des éliminatoires de la Basket-ball Africa League ?
L’équipe se porte bien. Elle est à pied d’œuvre pour préparer cette échéance. Depuis début août, nous avons débuté notre préparation. Les champions de Côte d’Ivoire sont au grand complet. Ils ont été rejoints par les renforts que nous avons sollicités. Nous avons surtout à cœur de présenter une équipe ivoirienne compétitive à cette édition de la Bal.
Avez-vous une idée des équipes que vous allez affronter ?
Pas vraiment. Je sais que nous allons affronter le champion du Bénin, de Cabo Verde, du Ghana et Nigelec de Niger. C’est d’ailleurs cette équipe du Niger qui accueillera cette première fenêtre. Mais l’Abc s’est proposé et a obtenu l’organisation de la fenêtre suivante à Abidjan, du 15 au 20 novembre.
Cette Ligue africaine de basket-ball coûte cher, les Fighters ont-ils vraiment les moyens de faire bonne figure à cette compétition ?
En effet, il faut beaucoup de moyens pour préparer les joueurs et conquérir l’Afrique. Nous en sommes conscients et c’est d’ailleurs ce que nous essayons de faire. J’avoue que ce n’est pas facile. Mais Dieu voulant, nous allons y arriver. Je voudrais d’ailleurs profiter de votre lucarne pour lancer un appel aux bonnes volontés, aux annonceurs pour nous aider à porter haut le drapeau ivoirien. C’est important. Figurez-vous que lors de la finale en 2019 à Kigali, le Président de la République de France, Emmanuel Macron qui était dans la loge d’honneur était déçu de ne pas voir une équipe ivoirienne à la phase finale. Nous avons un pays qui compte. C’est pourquoi nous nous battons pour avoir les moyens de faire honneur à ce pays qui nous est cher.
Avec quel objectif l’Abc Fighters compte aborder cette conquête africaine ?
Au basket-ball, nous ne sommes plus au stade de participer pour participer. L’Abidjan basket-ball s’est fait un nom dans le basket-ball africain. Et puis, nous allons représenter la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas rien. C’est pourquoi nous attendons aussi que l’État de Côte d’Ivoire fasse ce qu’il a toujours fait en pareille circonstance.
Avez-vous une idée des équipes que vous allez affronter ?
Pas vraiment. Je sais que nous allons affronter le champion du Bénin, de Cabo Verde, du Ghana et Nigelec de Niger. C’est d’ailleurs cette équipe du Niger qui accueillera cette première fenêtre. Mais l’Abc s’est proposé et a obtenu l’organisation de la fenêtre suivante à Abidjan, du 15 au 20 novembre.
Cette Ligue africaine de basket-ball coûte cher, les Fighters ont-ils vraiment les moyens de faire bonne figure à cette compétition ?
En effet, il faut beaucoup de moyens pour préparer les joueurs et conquérir l’Afrique. Nous en sommes conscients et c’est d’ailleurs ce que nous essayons de faire. J’avoue que ce n’est pas facile. Mais Dieu voulant, nous allons y arriver. Je voudrais d’ailleurs profiter de votre lucarne pour lancer un appel aux bonnes volontés, aux annonceurs pour nous aider à porter haut le drapeau ivoirien. C’est important. Figurez-vous que lors de la finale en 2019 à Kigali, le Président de la République de France, Emmanuel Macron qui était dans la loge d’honneur était déçu de ne pas voir une équipe ivoirienne à la phase finale. Nous avons un pays qui compte. C’est pourquoi nous nous battons pour avoir les moyens de faire honneur à ce pays qui nous est cher.
Avec quel objectif l’Abc Fighters compte aborder cette conquête africaine ?
Au basket-ball, nous ne sommes plus au stade de participer pour participer. L’Abidjan basket-ball s’est fait un nom dans le basket-ball africain. Et puis, nous allons représenter la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas rien. C’est pourquoi nous attendons aussi que l’État de Côte d’Ivoire fasse ce qu’il a toujours fait en pareille circonstance.