Transformation locale du cacao : MSC veut jouer sa partition aux côtés du gouvernement !
La 8e édition des Journées nationales du cacao et du chocolat (Jncc) organisée à Abidjan par le Conseil café-cacao ont été aussi un cadre de débats et panels sur d’importantes thématiques, notamment les défis de transformation locale des fèves de cacao que l’Etat de Côte d’Ivoire entend relever.
Dans un communiqué rendu public le jeudi 13 octobre 2022, le groupe Msc, spécialisé dans le transport par conteneur de cacao en Côte d’Ivoire, réaffirme « son engagement ». Celui d’accompagner le développement économique de la Côte d’Ivoire, en mettant à profit sa position de partenaire logistique de choix en Afrique. Et le directeur général de cette entreprise, Fabio Politi, de préciser son rôle aux côtés de l’Etat : « Relier les consommateurs aux producteurs en rendant le commerce possible et ainsi créer la prospérité pour les pays et les personnes ».
En clair, le groupe compte continuer à soutenir le gouvernement ivoirien dans cet effort de « transformation locale ». Mais pour y arriver, elle fournira « des solutions de transport adaptées » pour toucher l’ensemble des acteurs du cacao « où qu’ils se trouvent ».
Lors de cet échange, Michel Manlan s’exprimait au nom du gouvernement. Car représentant le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme.
Dans son propos, il a surtout relevé que la transformation du cacao en produits semi-finis que le gouvernement appelle de tous ses vœux a augmenté grâce à certaines mesures implémentées depuis la campagne 2016-2017. La garantie de l’approvisionnement des unités de broyage en matière première pour la transformation locale en est une.
A celle-ci, Michel Manlan relève le code d’investissement avec ses avantages offerts aux partenaires et acteurs. Bien plus, la disponibilité en énergie pour le secteur industriel qui est un maillon essentiel dans la réalisation d’un projet d’envergure.
A entendre le directeur général du Conseil café-cacao, Koné Brahima Yves, la Côte d’Ivoire compte atteindre un niveau de « broyage de 1 072 000 tonnes d’ici à octobre 2023, soit 49 % de notre production de cacao ». Même si l’objectif reste d’aller bien au-delà, en développant la chocolaterie à l’effet de créer de la valeur ajoutée.
Et sur cet aspect, Koné Bédié, directrice exécutive du Groupement professionnel des exportateurs de café et de cacao de Côte d'Ivoire (Gepex), milite pour la vulgarisation de la consommation locale, tout en encourageant les acteurs locaux à faire preuve de créativité.
En clair, le groupe compte continuer à soutenir le gouvernement ivoirien dans cet effort de « transformation locale ». Mais pour y arriver, elle fournira « des solutions de transport adaptées » pour toucher l’ensemble des acteurs du cacao « où qu’ils se trouvent ».
Lors de cet échange, Michel Manlan s’exprimait au nom du gouvernement. Car représentant le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme.
Dans son propos, il a surtout relevé que la transformation du cacao en produits semi-finis que le gouvernement appelle de tous ses vœux a augmenté grâce à certaines mesures implémentées depuis la campagne 2016-2017. La garantie de l’approvisionnement des unités de broyage en matière première pour la transformation locale en est une.
A celle-ci, Michel Manlan relève le code d’investissement avec ses avantages offerts aux partenaires et acteurs. Bien plus, la disponibilité en énergie pour le secteur industriel qui est un maillon essentiel dans la réalisation d’un projet d’envergure.
A entendre le directeur général du Conseil café-cacao, Koné Brahima Yves, la Côte d’Ivoire compte atteindre un niveau de « broyage de 1 072 000 tonnes d’ici à octobre 2023, soit 49 % de notre production de cacao ». Même si l’objectif reste d’aller bien au-delà, en développant la chocolaterie à l’effet de créer de la valeur ajoutée.
Et sur cet aspect, Koné Bédié, directrice exécutive du Groupement professionnel des exportateurs de café et de cacao de Côte d'Ivoire (Gepex), milite pour la vulgarisation de la consommation locale, tout en encourageant les acteurs locaux à faire preuve de créativité.