Le ministre Sidi Touré, 5e à partir de la gauche, se félicite de ce rendez-vous qui aboutira a de bonnes proposition pour améliorer la production nationale (DR)
Le ministre Sidi Touré, 5e à partir de la gauche, se félicite de ce rendez-vous qui aboutira a de bonnes proposition pour améliorer la production nationale (DR)
Production animale/Sommet de l’élevage: Le gouvernement mobilise l’investissement privé
Le ministre Sidi Touré Tiémoko a procédé au lancement de la première édition du Sommet de l’élevage en Côte d’Ivoire, hier, à l’hôtel Tiama au Plateau, en présence de nombreux acteurs du secteur qui n’ont pas voulu se faire conter cet évènement qui sera une première en Côte d’Ivoire.
Une occasion pour le ministre Sidi Toure de relever que le volume des investissements publics consacrés au secteur des ressources animales et halieutiques n’a pas excédé 16 milliards de Fcfa sur les trois dernières années, soit moins de O,3% du budget annuel national. Pour combler ce déficit de production, le ministère des Ressources animales et halieutiques a mis en place la politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquatique (Ponadepa) 2022-2026.
Une politique dont la contribution dans le secteur représente 6O% des investissements, a révélé le ministre Sidi Touré ; qui appelle à une mobilisation, car la transformation du secteur des ressources animales et halieutiques passe par l’institutionnalisation d’un cadre pérenne de promotion et d’échanges entre les acteurs tels que le Sommet de l’élevage d’Abidjan.
Dont l’objectif est de promouvoir des investissements privés dans le secteur en Côte d’ivoire. De parvenir à la transformation structurelle des filières et surtout d’offrir des opportunités d’investissements dans les filières en vue d’améliorer les besoins de la couverture nationale qui ne couvrent à peine 44% des protéines animales. Et 15% des protéines halieutiques. « Nous pensons que ce salon donnera des réponses que les acteurs attendent pour manifester un intérêt sur ce secteur sur lequel l’État dépense près de 4OO milliards de Fcfa en importation de protéine animale et halieutique », a souligné le ministre des Ressources animales et halieutiques.
Il a donc indiqué de façon claire « qu’il s’agira, à travers ce sommet, d’assurer une meilleure connaissance par les milieux d’affaires et le grand public du secteur des ressources animales et halieutiques en Côte d’Ivoire ; de créer un cadre pour l’établissement de partenariat public-privé, privé –privé ; présenter le système de renforcement des capacités des acteurs du secteur ; assurer une familiarité avec les axes stratégiques et les domaines d’intervention de la Ponada et mettre en avant les opportunités d’investissements et les incitations à investissements mises en place par le gouvernement », a indiqué Sidi Touré.
Il a terminé en invitant les professionnels de ce secteur les 8, 9 et 1O décembre prochains au palais de la culture de Treichville pour que ce sommet de l’élevage qui vient à point nommé soit une réussite.
Il a, par ailleurs, mentionné que ce sommet de l’élevage vise à opérationnaliser une partie de la politique nationale adoptée en janvier dernier. La politique de développement de l’élevage et de l’aquaculture et de la pèche. « Il est important de savoir les opportunités qui existent dans le secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire. Certes l’élevage des bovins, des ovins caprins mais aussi l’élevage de poissons. C’est- à- dire tout le secteur de la pêche, halieutique mais aussi l’élevage des bovins et des caprins, a expliqué Sidi Touré.
Collette Tano, directrice générale de la société Next Sustainable Inititives (Nsi), initiatrice de ce sommet, en partenariat avec le ministère des Ressources animales et halieutiques, a indiqué que cet évènement veut relever les enjeux et défis de la sécurité alimentaire en protéines animales et halieutiques pour booster le secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire.
« Après un constat, nous voulons booster des secteurs de développement qui ont du fort potentiel mais qui restent encore à la traîne dont fait partie le secteur de l’élevage qui ne contribue qu’à 2 % du Pib. Pour nous, il faut créer un rendez-vous des professionnels de l’élevage à même de pouvoir porter les défis et enjeux nécessaires au développement de ce secteur et donc booster, accélérer la croissance de ce secteur.
À l’en croire, tous les acteurs de la filière bovine, porcine, l’élevage des ovins et des élevages domestiques et tous les acteurs des ressources animales et halieutiques vont mettre en avant le meilleur des productions locales
Expositions, panels, journées scientifiques, conférences, tables rondes pour situer les défis liés à ce secteur sont au programme de ce premier sommet de l’élevage.
Une politique dont la contribution dans le secteur représente 6O% des investissements, a révélé le ministre Sidi Touré ; qui appelle à une mobilisation, car la transformation du secteur des ressources animales et halieutiques passe par l’institutionnalisation d’un cadre pérenne de promotion et d’échanges entre les acteurs tels que le Sommet de l’élevage d’Abidjan.
Dont l’objectif est de promouvoir des investissements privés dans le secteur en Côte d’ivoire. De parvenir à la transformation structurelle des filières et surtout d’offrir des opportunités d’investissements dans les filières en vue d’améliorer les besoins de la couverture nationale qui ne couvrent à peine 44% des protéines animales. Et 15% des protéines halieutiques. « Nous pensons que ce salon donnera des réponses que les acteurs attendent pour manifester un intérêt sur ce secteur sur lequel l’État dépense près de 4OO milliards de Fcfa en importation de protéine animale et halieutique », a souligné le ministre des Ressources animales et halieutiques.
Il a donc indiqué de façon claire « qu’il s’agira, à travers ce sommet, d’assurer une meilleure connaissance par les milieux d’affaires et le grand public du secteur des ressources animales et halieutiques en Côte d’Ivoire ; de créer un cadre pour l’établissement de partenariat public-privé, privé –privé ; présenter le système de renforcement des capacités des acteurs du secteur ; assurer une familiarité avec les axes stratégiques et les domaines d’intervention de la Ponada et mettre en avant les opportunités d’investissements et les incitations à investissements mises en place par le gouvernement », a indiqué Sidi Touré.
Il a terminé en invitant les professionnels de ce secteur les 8, 9 et 1O décembre prochains au palais de la culture de Treichville pour que ce sommet de l’élevage qui vient à point nommé soit une réussite.
Il a, par ailleurs, mentionné que ce sommet de l’élevage vise à opérationnaliser une partie de la politique nationale adoptée en janvier dernier. La politique de développement de l’élevage et de l’aquaculture et de la pèche. « Il est important de savoir les opportunités qui existent dans le secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire. Certes l’élevage des bovins, des ovins caprins mais aussi l’élevage de poissons. C’est- à- dire tout le secteur de la pêche, halieutique mais aussi l’élevage des bovins et des caprins, a expliqué Sidi Touré.
Collette Tano, directrice générale de la société Next Sustainable Inititives (Nsi), initiatrice de ce sommet, en partenariat avec le ministère des Ressources animales et halieutiques, a indiqué que cet évènement veut relever les enjeux et défis de la sécurité alimentaire en protéines animales et halieutiques pour booster le secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire.
« Après un constat, nous voulons booster des secteurs de développement qui ont du fort potentiel mais qui restent encore à la traîne dont fait partie le secteur de l’élevage qui ne contribue qu’à 2 % du Pib. Pour nous, il faut créer un rendez-vous des professionnels de l’élevage à même de pouvoir porter les défis et enjeux nécessaires au développement de ce secteur et donc booster, accélérer la croissance de ce secteur.
À l’en croire, tous les acteurs de la filière bovine, porcine, l’élevage des ovins et des élevages domestiques et tous les acteurs des ressources animales et halieutiques vont mettre en avant le meilleur des productions locales
Expositions, panels, journées scientifiques, conférences, tables rondes pour situer les défis liés à ce secteur sont au programme de ce premier sommet de l’élevage.