Soubré/Gestion du Parc national de Taï : Une performance de 76 % enregistrée au 3e trimestre 2022

Les participants ont marqué leur engagement dans la gestion de l’aire protégée. (Ph: Dr)
Les participants ont marqué leur engagement dans la gestion de l’aire protégée. (Ph: Dr)
Les participants ont marqué leur engagement dans la gestion de l’aire protégée. (Ph: Dr)

Soubré/Gestion du Parc national de Taï : Une performance de 76 % enregistrée au 3e trimestre 2022

Le 27/10/22 à 09:51
modifié 27/10/22 à 09:59
Le Plan d’opérations de la gestion du Parc national de Taï (Pnt) a été réalisé à 54 % sur un objectif de 71%, avec une performance globale de 76% au 3e trimestre 2022. C’est le bilan positif qu’ont présenté le 20 octobre 2022, les premiers responsables de la Direction de zone sud-ouest de l’office ivoirien des parcs et réserves (Dzso), structure de gestion du Parc national de Taï.

C’était lors du 3e atelier de suivi de la mise en œuvre du Plan d’opération organisé à la salle de conférences Adama Tondossama de la Dzso à Soubré. Dans son discours d’ouverture de la réunion, le représentant du directeur général de l’Oipr, le colonel François Djé N’Goran, a souligné la complexité de la gestion des aires protégées.

Cette difficulté, selon lui, appelle à une implication efficiente de tous les acteurs. « Nous témoignons notre reconnaissance aux partenaires techniques, financiers, Ong, collectivités locales, autorités administratives et coutumières, pour tous les efforts déployés afin que l’Oipr accomplisse efficacement sa mission », a-t-il lancé.

L’atelier a mis en lumière les réalisations du 3e trimestre 2022. Les acquis des six programmes de gestion du Pnt ont tous été passés en revue. Il s’agit, notamment de la surveillance, du suivi écologique, de la recherche, de la gestion participative du développement local, de la communication et de l’écotourisme, des infrastructures et des aménagements, du management et de l’intégration régionale.

Toujours à propos de l’exécution de la matrice, les gestionnaires et l’ensemble des parties prenantes ont également mis un accent sur l’identification des causes des écarts, les mesures correctives et les délais de mise en œuvre de ces mesures.

La rencontre a été aussi meublée par la présentation des résultats d’une étude réalisée par l’étudiante Diane Aya Houphouët de l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa sur la ‘‘Diversité de la flore et l’état de reconstitution de la végétation des zones anciennement occupées par les plantations’’.

Cette étude avait également pour objectif de contribuer à une meilleure connaissance de la flore des zones anciennement occupées par les plantations dans le secteur de Djapadji.

Info : Dzso


Le 27/10/22 à 09:51
modifié 27/10/22 à 09:59