COP27: l'évènement s’ouvre ce dimanche à Charm el-Cheikh, en Égypte
C’est ce dimanche 6 novembre 2022, à Charm el-Cheikh, en Égypte, que s’ouvre la COP27. Une vingt-septième Conférence des Nations unies sur le climat présentée, certes, comme la COP de l’Afrique. Mais qui va payer le changer de cap ? C’est toute la question, indirectement posée par Libération. Pour « enfin » changer de cap, complète ce journal, soulignant ainsi la vanité des résolutions prises lors des précédentes conférences internationales sur le climat. Question d’autant plus urgente que cette COP27 s’ouvre dans un contexte « de crises multiples », pointe Libé, parmi lesquelles les tensions énergétiques mondiales. Le sommet de Charm el-Cheikh sera-t-il celui du sursaut. « Rien n’est moins sûr », prévient Libération.
Terre aride en Teranga
En Afrique-même, l’adaptation aux exigences climatiques des grands pollueurs de la planète est d’autant plus difficile que l’Afrique est, de loin, le continent le moins responsable de la pollution mondiale. Reportage du Figaro à Fanaye, dans le nord du Sénégal, où les éleveurs nomades ont du mal à s’adapter aux recommandations de la COP. Le projet de reboisement de Fanaye a été retenu par le Fonds vert pour le climat : le nord du pays se trouve dans le périmètre de la Grande muraille verte, un large couloir traversant l’Afrique du Sénégal à l’Éthiopie, dont les terres ont vocation à être restaurées et replantées pour arrêter l’avancée du désert. « Mais l’argent promis se fait attendre », constate sur place Le Figaro.
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