Littérature : "Alea Jacta Est" ou l’invitation à l’entrepreneuriat à la jeunesse africaine
« Alea Jacta Est » ou le témoignage des membres d’une entreprise à succès en vue de transmettre l’amour et le goût de l’entrepreneuriat aux jeunes générations africaines.
Édité dans le cadre de la célébration des 20 ans d’existence du groupe Intelcia, spécialisé dans l’outsourcing, ce livre témoignage a été présenté et a fait l’objet d’une mini-conférence, récemment, à l’hôtel Noom d’Abidjan-Plateau, en marge de l’inauguration de la représentation locale de cette multinationale d’origine marocaine.
Il retrace le parcours de deux entrepreneurs - Karim Bernoussi (le Pdg et co-fondateur) et Youssef El Aoufir (directeur général) - qui ont réussi à transformer une petite entreprise qui a commencé avec quelques dizaines de collaborateurs en une multinationale qui emploie aujourd’hui près de 40.000 personnes, en deux décennies.
Pour Karim Bernoussi, « Alea Jacta Est » est à la fois un témoignage, un partage d’expériences et la concrétisation du devoir de transmission de l’expérience aux jeunes générations d’entrepreneurs du continent.
« La vocation de ce livre est de contribuer à transmettre, par l’exemple, aux jeunes entrepreneurs un modèle d’une Pme africaine qui a pris le pari du développement international. C’est aussi une aventure humaine et entrepreneuriale qui s’est mue en un acteur économique à fort impact social, fermement engagé pour le développement territorial dans tous les pays où il est implanté », a-t-il déclaré.
Tout au long de la rencontre qui a rassemblé plusieurs startuppers, entrepreneurs et chefs d’entreprises ivoiriens et marocains, le président-directeur-général du groupe est revenu sur les grandes étapes du développement de son entreprise, ses choix stratégiques, les opportunités qu’il a su saisir et les défis qu’il a dû relever.
Une véritable immersion dans l’histoire d’une start-up devenue multinationale, et qui s’est construite en écho à la marche économique et industrielle du Maroc et des pays dans lesquels le groupe est présent.
Entre autres sujets abordés, lors cet échange à bâtons rompus, l’audace de l’internationalisation, la problématique du financement de la croissance de l’entreprise et la gestion de l’intégration d’autres cultures d’entreprise.
Deux mots sont essentiels dans la conception de l’entrepreneuriat chez Karim Bernoussi. D’abord l’audace. « De l’audace, qu’il s’agisse du choix des partenaires, de faire des acquisitions, de mener des orientations géographiques ou métiers, ou même de prendre des décisions business les plus décisives », affirme-t-il.
Puis, l’instinct. « Lorsqu’on acte des deals, cela ne se fait pas toujours de manière rationnelle. Nous avons toujours suivi notre instinct, Youssef et moi. Idem pour le rachat d’entreprises ou l’association avec des partenaires. Il faut savoir écouter son for intérieur. Et cet instinct qui nous a poussés à prendre des décisions hardies et osées, quand il le fallait », conclut-il.
Il retrace le parcours de deux entrepreneurs - Karim Bernoussi (le Pdg et co-fondateur) et Youssef El Aoufir (directeur général) - qui ont réussi à transformer une petite entreprise qui a commencé avec quelques dizaines de collaborateurs en une multinationale qui emploie aujourd’hui près de 40.000 personnes, en deux décennies.
Pour Karim Bernoussi, « Alea Jacta Est » est à la fois un témoignage, un partage d’expériences et la concrétisation du devoir de transmission de l’expérience aux jeunes générations d’entrepreneurs du continent.
« La vocation de ce livre est de contribuer à transmettre, par l’exemple, aux jeunes entrepreneurs un modèle d’une Pme africaine qui a pris le pari du développement international. C’est aussi une aventure humaine et entrepreneuriale qui s’est mue en un acteur économique à fort impact social, fermement engagé pour le développement territorial dans tous les pays où il est implanté », a-t-il déclaré.
Tout au long de la rencontre qui a rassemblé plusieurs startuppers, entrepreneurs et chefs d’entreprises ivoiriens et marocains, le président-directeur-général du groupe est revenu sur les grandes étapes du développement de son entreprise, ses choix stratégiques, les opportunités qu’il a su saisir et les défis qu’il a dû relever.
Une véritable immersion dans l’histoire d’une start-up devenue multinationale, et qui s’est construite en écho à la marche économique et industrielle du Maroc et des pays dans lesquels le groupe est présent.
Entre autres sujets abordés, lors cet échange à bâtons rompus, l’audace de l’internationalisation, la problématique du financement de la croissance de l’entreprise et la gestion de l’intégration d’autres cultures d’entreprise.
Deux mots sont essentiels dans la conception de l’entrepreneuriat chez Karim Bernoussi. D’abord l’audace. « De l’audace, qu’il s’agisse du choix des partenaires, de faire des acquisitions, de mener des orientations géographiques ou métiers, ou même de prendre des décisions business les plus décisives », affirme-t-il.
Puis, l’instinct. « Lorsqu’on acte des deals, cela ne se fait pas toujours de manière rationnelle. Nous avons toujours suivi notre instinct, Youssef et moi. Idem pour le rachat d’entreprises ou l’association avec des partenaires. Il faut savoir écouter son for intérieur. Et cet instinct qui nous a poussés à prendre des décisions hardies et osées, quand il le fallait », conclut-il.