Les Éléphants ont retrouvé leur appétit offensif contre le Burundi. (Ph: Dr)
Après le match contre le Burundi/Éléphants : les bons et les mauvais points
Les Éléphants de Côte d’Ivoire ont réussi leur première sortie pour la fenêtre internationale du mois de novembre en dominant, mercredi dernier, le Burundi (4-0). La différence de niveau entre la Côte d’Ivoire (48e mondial) et son adversaire (141e), au dernier classement Fifa, s’est confirmée sur la pelouse du stade de Marrakech.
Dans l’ensemble, les hommes de Jean-Louis Gasset n’ont pas eu à forcer leur talent. N’empêche qu’il y a des enseignements à tirer sur la prestation de l’équipe collectivement comme individuellement. Mercredi, Jean-Louis Gasset a opté pour un système 4-4-2 très offensif.
Dans ce milieu à 4, Jean Evrard Kouassi et Max Gradel étaient chargés de porter le danger sur les côtés de la défense burundaise. Un rôle parfaitement assumé par ces deux joueurs, tandis que Sangaré et Séri organisaient et récupéraient au milieu de terrain.
En attaque, la mobilité de Datro Fofana et de Jean-Philippe Krasso devaient désarçonner la défense des Hirondelles. Un système qui a dans l’ensemble fonctionné. Le niveau technique des individualités et la fraîcheur physique ont été déterminants.
Cependant, dans ce système, même s’ils n’ont pas pris de but, les Éléphants ont souvent laissé beaucoup de brèches à leurs adversaires, surtout en phase défensive. Les attaquants burundais ont eu des opportunités sur des contres qu’ils n’ont malheureusement pas exploitées. Également, les relances, à partir de l’axe défensif, ont parfois été approximatives. Sinaly Diomandé et Sylla Abackar qui ont constitué la paire centrale ont manqué par moment de maturité sur certaines actions.
Sur le plan individuel, on peut dire que Gasset dispose d’un beau monde dans son groupe, notamment les jeunes. Les prestations de Fofana Datro (Molde) et Konaté Karim étaient attendues. Titularisé d’entrée, l’attaquant de Molde, a laissé un goût d’inachevé sur l’ensemble de sa prestation. Il a fait valoir sa mobilité, ses qualités techniques mais n’a pas souvent effectué les bons choix. Néanmoins pour une première sélection en équipe nationale, il y a beaucoup d’espoir.
Entré en seconde période, Karim Konaté n’a pas eu véritablement l’opportunité de se mettre en évidence, à l’image de tous ceux qui ont effectué leur entrée à la deuxième mi-temps. Jean Philippe Krasso, lui, a inscrit son premier but sous Gasset et a confirmé qu’il sera d’un apport utile à la ligne offensive du groupe. Auteur de deux passes décisives, Jean Evrard Kouassi retrouve les sensations de ses débuts avec la sélection.
En défense, Doumbia Souleymane a également été à la hauteur de la tâche sur le côté gauche. Enfin, le capitaine Max-Alain Gradel, auteur du 2e but des Éléphants, a démontré qu’il est toujours bon pour le service malgré ses 34 ans. Une belle animation offensive qui a permis aux Éléphants d’inscrire 4 buts. Un score qu’ils n’avaient plus atteint depuis 3 ans, toutes compétitions confondues. Ils vont devoir le confirmer, samedi, contre le Burkina Faso.
Dans ce milieu à 4, Jean Evrard Kouassi et Max Gradel étaient chargés de porter le danger sur les côtés de la défense burundaise. Un rôle parfaitement assumé par ces deux joueurs, tandis que Sangaré et Séri organisaient et récupéraient au milieu de terrain.
En attaque, la mobilité de Datro Fofana et de Jean-Philippe Krasso devaient désarçonner la défense des Hirondelles. Un système qui a dans l’ensemble fonctionné. Le niveau technique des individualités et la fraîcheur physique ont été déterminants.
Cependant, dans ce système, même s’ils n’ont pas pris de but, les Éléphants ont souvent laissé beaucoup de brèches à leurs adversaires, surtout en phase défensive. Les attaquants burundais ont eu des opportunités sur des contres qu’ils n’ont malheureusement pas exploitées. Également, les relances, à partir de l’axe défensif, ont parfois été approximatives. Sinaly Diomandé et Sylla Abackar qui ont constitué la paire centrale ont manqué par moment de maturité sur certaines actions.
Sur le plan individuel, on peut dire que Gasset dispose d’un beau monde dans son groupe, notamment les jeunes. Les prestations de Fofana Datro (Molde) et Konaté Karim étaient attendues. Titularisé d’entrée, l’attaquant de Molde, a laissé un goût d’inachevé sur l’ensemble de sa prestation. Il a fait valoir sa mobilité, ses qualités techniques mais n’a pas souvent effectué les bons choix. Néanmoins pour une première sélection en équipe nationale, il y a beaucoup d’espoir.
Entré en seconde période, Karim Konaté n’a pas eu véritablement l’opportunité de se mettre en évidence, à l’image de tous ceux qui ont effectué leur entrée à la deuxième mi-temps. Jean Philippe Krasso, lui, a inscrit son premier but sous Gasset et a confirmé qu’il sera d’un apport utile à la ligne offensive du groupe. Auteur de deux passes décisives, Jean Evrard Kouassi retrouve les sensations de ses débuts avec la sélection.
En défense, Doumbia Souleymane a également été à la hauteur de la tâche sur le côté gauche. Enfin, le capitaine Max-Alain Gradel, auteur du 2e but des Éléphants, a démontré qu’il est toujours bon pour le service malgré ses 34 ans. Une belle animation offensive qui a permis aux Éléphants d’inscrire 4 buts. Un score qu’ils n’avaient plus atteint depuis 3 ans, toutes compétitions confondues. Ils vont devoir le confirmer, samedi, contre le Burkina Faso.