Santé du cœur : Les cardiologues francophones en quête de meilleures solutions à Abidjan
Ouvertes le 25 novembre, à Abidjan-Plateau, les 2e Journées africaines francophones de cardiologie interventionnelle (Jafci) se sont achevées le 26 novembre 2022.
Passer aux peignes fins les pratiques médicales dans le domaine de la cardiologie, dans le but de trouver des pistes de solutions idoines pour les malades. Tel est l’un des objectifs majeurs des deux jours de rencontre (25 et 26 novembre 2022) qui ont réuni les cardiologues de huit pays francophones africains, ainsi que la France. Ces assises ont eu pour thème : « Evolution des pratiques de la cardiologie interventionnelle en Afrique francophone ».
« Les Journées africaines francophones de cardiologie interventionnelle sont dédiées à la réflexion sur le développement de cette activité importante en matière de cardiologie. Cette spécialité nécessite la mobilisation de moyens importants, des formations, une grosse technicité et un soutien des autorités pour la développer », a indiqué Pr Roland N’Guetta, président de la Société ivoirienne de cardiologie (Sicard), par ailleurs président du Comité d’organisation de ces journées.
Pour le cardiologue, ce secteur important de santé publique permet surtout de prendre en charge des affections relatives aux crises cardiaques. A ce titre, il a insisté sur la formation des équipes médicales, tout comme la nécessité de trouver des solutions relativement à la baisse des coûts des consommables médicaux, jusque-là très élevés dans les pays francophones d’Afrique.
Fatouma Kanaté, première vice-présidente du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), a traduit la reconnaissance et les félicitations du président Aka Aouélé, président de cette institution, au responsable de la Sicard, Pr Roland N’Guetta. Ce, pour son engagement dans la recherche de solutions concernant la prise en charge des patients touchés par les maladies cardiovasculaires.
En ce qui concerne les participants, elle les a exhortées à mener « des réflexions pertinentes afin de contribuer au développement de la cardiologie interventionnelle », dans l'espace francophone, en Afrique noire.
Dr Marie Chantal Assouan, au nom du ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, est revenue sur l’engagement du gouvernement à permettre aux cardiologues francophones d’aller de l’avant dans l’amélioration des soins.
Au menu de ces deux jours de rencontre, les participants ont eu droit à des conférences et à un panel d’experts, ainsi qu’à la présentation de cas traités par cardiologie interventionnelle. Des ateliers pratiques avec des cas cliniques.
En marge des travaux, il y a eu une exposition de matériels pharmaceutiques, techniques et biomédicaux.
Il est bon de savoir que les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité au monde. Et sur le continent africain, ce sont plus d'un million qui sont enregistrés chaque année.
Infos : Sercom
Pour le cardiologue, ce secteur important de santé publique permet surtout de prendre en charge des affections relatives aux crises cardiaques. A ce titre, il a insisté sur la formation des équipes médicales, tout comme la nécessité de trouver des solutions relativement à la baisse des coûts des consommables médicaux, jusque-là très élevés dans les pays francophones d’Afrique.
Fatouma Kanaté, première vice-présidente du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), a traduit la reconnaissance et les félicitations du président Aka Aouélé, président de cette institution, au responsable de la Sicard, Pr Roland N’Guetta. Ce, pour son engagement dans la recherche de solutions concernant la prise en charge des patients touchés par les maladies cardiovasculaires.
En ce qui concerne les participants, elle les a exhortées à mener « des réflexions pertinentes afin de contribuer au développement de la cardiologie interventionnelle », dans l'espace francophone, en Afrique noire.
Dr Marie Chantal Assouan, au nom du ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, est revenue sur l’engagement du gouvernement à permettre aux cardiologues francophones d’aller de l’avant dans l’amélioration des soins.
Au menu de ces deux jours de rencontre, les participants ont eu droit à des conférences et à un panel d’experts, ainsi qu’à la présentation de cas traités par cardiologie interventionnelle. Des ateliers pratiques avec des cas cliniques.
En marge des travaux, il y a eu une exposition de matériels pharmaceutiques, techniques et biomédicaux.
Il est bon de savoir que les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité au monde. Et sur le continent africain, ce sont plus d'un million qui sont enregistrés chaque année.
Infos : Sercom