Lutte contre la paludisme : Une mobilisation du secteur privé demandée
A l’occasion de la 3e édition de Africa Santé Expo tenue les 1er, 2 et 3 décembre 2022, à Abidjan, une conférence sur l’engagement du secteur privé dans la lutte contre le paludisme en Afrique a été organisée par Speak Up Africa, une plateforme de communication.
Les débats ont été une aubaine pour Dr Antoine Tanoh, directeur-coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), de rappeler au secteur privé l’urgence de faire face à cette pathologie qui fait toujours des dégâts en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire. Le paludisme demeure un problème de santé publique, une priorité nationale, a-t-il fait savoir.
Même si les cas de paludisme connaissent une baisse, l’incidence chez les enfants de moins de 5 ans, selon Dr Antoine Tanoh, reste élevée. De ce fait, il a appelé à une mobilisation de toutes les parties prenantes dont le secteur privé.
Il a reconnu tout de même que plus de 200 entreprises mènent des activités contre le paludisme, aux côtés du Pnlp. Il a salué à ce sujet l’appui desdites entreprises. Toutefois, il est désormais impérieux de mettre en place une plateforme multisectorielle et de mobilisation des ressources en vue de parvenir à une élimination de la maladie.
Le directeur-coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme demande ainsi la contribution des patronats. D’où la relance, voire le renforcement du partenariat Public-Privé. Il faut déjà indiquer que cette conférence était organisée dans le cadre du projet : « Zéro paludisme, les entreprises s’engagent ».
Les participants ont surtout encouragés les chefs d’entreprises à commencer la lutte au sein de leur société, en protégeant leurs employés, en vue d’une meilleure une efficacité de leurs agents. Ils estiment que « le paludisme n’est pas une maladie à banaliser ». Bien au contraire, il mérite « une attention soutenue ».
Dans l’implémentation du projet « Zéro paludisme, les entreprises s’engagent », certaines entreprises mobilisent déjà. Elles ont pour objectif de mettre sur pied un fonds à l’effet de répondre aux besoins nationaux, les plus urgents, en termes de lutte contre le paludisme.
Outre ce fonds, les contributions en nature sont aussi annoncées.
Même si les cas de paludisme connaissent une baisse, l’incidence chez les enfants de moins de 5 ans, selon Dr Antoine Tanoh, reste élevée. De ce fait, il a appelé à une mobilisation de toutes les parties prenantes dont le secteur privé.
Il a reconnu tout de même que plus de 200 entreprises mènent des activités contre le paludisme, aux côtés du Pnlp. Il a salué à ce sujet l’appui desdites entreprises. Toutefois, il est désormais impérieux de mettre en place une plateforme multisectorielle et de mobilisation des ressources en vue de parvenir à une élimination de la maladie.
Le directeur-coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme demande ainsi la contribution des patronats. D’où la relance, voire le renforcement du partenariat Public-Privé. Il faut déjà indiquer que cette conférence était organisée dans le cadre du projet : « Zéro paludisme, les entreprises s’engagent ».
Les participants ont surtout encouragés les chefs d’entreprises à commencer la lutte au sein de leur société, en protégeant leurs employés, en vue d’une meilleure une efficacité de leurs agents. Ils estiment que « le paludisme n’est pas une maladie à banaliser ». Bien au contraire, il mérite « une attention soutenue ».
Dans l’implémentation du projet « Zéro paludisme, les entreprises s’engagent », certaines entreprises mobilisent déjà. Elles ont pour objectif de mettre sur pied un fonds à l’effet de répondre aux besoins nationaux, les plus urgents, en termes de lutte contre le paludisme.
Outre ce fonds, les contributions en nature sont aussi annoncées.