Les panélistes ont instruit les femmes sur les mécanismes pour entreprendre, épargner et investir. (Ph: Bavane)
Les panélistes ont instruit les femmes sur les mécanismes pour entreprendre, épargner et investir. (Ph: Bavane)
Autonomisation de la femme : Des musulmanes tidjani instruites sur « comment épargner et investir son argent »
« Femme entreprenante, épargne et investis ton argent », est la thématique sur laquelle, se tient la deuxième édition des journées culturelles de la femme tidjani, à l’espace Canaou Lounge à Attoban du 22 au 28 décembre 2022.
Placées sous le haut parrainage de la ministre de la femme de la famille et de l’enfant, Nassénéba Touré et sous l’autorité spirituelle du Cheickh Moustapha Sonta, Khalife général de la tidjaniyya en Côte d’Ivoire, ces journées culturelles sont organisées par l’association des femmes musulmanes Tidjani de Côte d’Ivoire (Afemtci). Elles visent à donner une visibilité aux femmes musulmanes sur leurs capacités à entreprendre, épargner et investir leur argent pour faire reculer la pauvreté.
C’est pourquoi, à l’occasion de la cérémonie officielle, le dimanche 25 décembre, Adja Rokia Berthé, présidente de l’Afemtci, a affirmé que le thème leur est inspiré par le désir de faire reculer la pauvreté, car selon elle, l’épargne et l’investissement débouchent sur la richesse. Et qui dit richesse, parle de l’épanouissement de la femme et ensuite de la cellule familiale, socle d’un développement national. D’où, son assurance à inviter la femme musulmane à entreprendre, afin d’épargner et investir pour le bonheur de sa communauté.
« Le thème choisi est en parfaite adéquation à la mission que j’ai assigné à l’afemtci. Qui n’est rien d’autre que l’autonomisation de la femme. A travers ces journées meublées d’exposition vente, les femmes expriment leur désir d’entreprendre. Je voudrais inviter la communauté à soutenir nos femmes. Parce qu’une femme épanouie, c’est la communauté qui gagne », a pour sa part développé Cheickh Moustapha Sonta.
Mariam Diarra, directrice de la protection de l’enfant, représentante la ministre de la femme de la famille et de l’enfant a encouragé l’initiative. Car, selon elle, le développement de la Côte d’Ivoire doit impliquer et les femmes et les hommes. « Les femmes représentent la moitié de la population de ce pays. Alors pour que la Côte d’Ivoire aspire à un développement durable, il faut que la femme participe à ce développement à travers l’entrepreneuriat », a-t-elle indiqué.
Avant d’inviter les femmes à s’informer sur la direction en charge de l’autonomisation et l’entrepreneuriat féminin logé au ministère de la femme de la famille et de l’enfant. Qui est chargée d’accompagner les femmes avec les outils nécessaires en vue d’améliorer leurs activités et d’entreprendre. « Au sein du ministère, nous avons également un fonds. Le fonds national femme et développement qui met à disposition des fonds pour permettre aux femmes d’entreprendre. Il faut que les femmes s’informent », a-t-elle invité
Adja Gbané Maimouna, gérante d’un cabinet d’assurance, Adja Madoussou Koné, agent immobilier Adja Mariam Dao Gabala, sénatrice et cheick Tiadjiane Diabaté ont animé le panel.
C’est pourquoi, à l’occasion de la cérémonie officielle, le dimanche 25 décembre, Adja Rokia Berthé, présidente de l’Afemtci, a affirmé que le thème leur est inspiré par le désir de faire reculer la pauvreté, car selon elle, l’épargne et l’investissement débouchent sur la richesse. Et qui dit richesse, parle de l’épanouissement de la femme et ensuite de la cellule familiale, socle d’un développement national. D’où, son assurance à inviter la femme musulmane à entreprendre, afin d’épargner et investir pour le bonheur de sa communauté.
« Le thème choisi est en parfaite adéquation à la mission que j’ai assigné à l’afemtci. Qui n’est rien d’autre que l’autonomisation de la femme. A travers ces journées meublées d’exposition vente, les femmes expriment leur désir d’entreprendre. Je voudrais inviter la communauté à soutenir nos femmes. Parce qu’une femme épanouie, c’est la communauté qui gagne », a pour sa part développé Cheickh Moustapha Sonta.
Mariam Diarra, directrice de la protection de l’enfant, représentante la ministre de la femme de la famille et de l’enfant a encouragé l’initiative. Car, selon elle, le développement de la Côte d’Ivoire doit impliquer et les femmes et les hommes. « Les femmes représentent la moitié de la population de ce pays. Alors pour que la Côte d’Ivoire aspire à un développement durable, il faut que la femme participe à ce développement à travers l’entrepreneuriat », a-t-elle indiqué.
Avant d’inviter les femmes à s’informer sur la direction en charge de l’autonomisation et l’entrepreneuriat féminin logé au ministère de la femme de la famille et de l’enfant. Qui est chargée d’accompagner les femmes avec les outils nécessaires en vue d’améliorer leurs activités et d’entreprendre. « Au sein du ministère, nous avons également un fonds. Le fonds national femme et développement qui met à disposition des fonds pour permettre aux femmes d’entreprendre. Il faut que les femmes s’informent », a-t-elle invité
Adja Gbané Maimouna, gérante d’un cabinet d’assurance, Adja Madoussou Koné, agent immobilier Adja Mariam Dao Gabala, sénatrice et cheick Tiadjiane Diabaté ont animé le panel.