Sportivement : Garder le cap et rester focus sur ses objectifs
Au moment où le Cocan 2023 a subi de profondes réformes et que l’événement approche à grands pas, l’heure est venue de nous rassembler. Si nous voulons vraiment aider le Président de la République à offrir à l’Afrique cette Coupe d’Afrique exceptionnelle en 2024.
Il n’est pas question de faire du replâtrage, après les fissures de la maison fédérale, mais à la refondation qui permettra de résister aux tempêtes. C’est un travail nécessaire et obligatoire qui a débuté avec l’avènement de Yacine Idriss Diallo à la tête de la Fif.
Cette main tendue ne doit pas être de façade. Même si Sory Diabaté et Didier Drogba ne siègent pas au comité directeur (il faut les comprendre), en revanche, ils ont des partisans qui ont rejoint la barque. Le dialogue doit se poursuivre et faire en sorte que les frustrations, les rancœurs laissent la place à la bonne humeur, à la solidarité afin que tout baigne. Un peu, un peu, nous y arriverons.
Il faut faire en sorte que notre football se relève et reprenne sa marche victorieuse. Car il n’y a pas très longtemps, ce football ivoirien était craint. Grâce aux « diablotins » sortis de l’Académie de l’Asec mimosas, du Centre national de sport de haut niveau (Cnshn) de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) et d’autres structures sérieuses de l’époque, la Côte d’Ivoire était presque qualifiée d’office à chaque compétition continentale, au niveau des jeunes.
Le pays était un modèle de formation de jeunes footballeurs, envié et copié. On revoit encore ces belles images de Walter Ammann sous le soleil organiser des championnats de jeunes. « Génération Ivoiris » (1999-2004) a vu passer des joueurs qui sont devenus des professionnels et ont porté les couleurs nationales. Voilà un chantier important qui mérite qu’on s’y attarde.
La Can 2023 va passer. Et puis, il y a un comité qui existe déjà pour l’organiser... Cette organisation va nous laisser un héritage immense. Des stades de qualité pour qu’enfin la Côte d’Ivoire puisse mériter son statut de nation de football. Que fera la Fif, de ces stades, après la compétition ?
Une question parmi tant d’autres qui devraient être les préoccupations de la faîtière de football. Surtout que juste après la Can 2023 (qui se déroulera en 2024), l’année suivante est électorale.
Mon conseil, restons focus sur nos objectifs. Peut-être que c’est le moment pour Yacine Idriss Diallo de faire un état général des lieux. Un symposium, par exemple, pour le renouveau du football ivoirien.
Cette main tendue ne doit pas être de façade. Même si Sory Diabaté et Didier Drogba ne siègent pas au comité directeur (il faut les comprendre), en revanche, ils ont des partisans qui ont rejoint la barque. Le dialogue doit se poursuivre et faire en sorte que les frustrations, les rancœurs laissent la place à la bonne humeur, à la solidarité afin que tout baigne. Un peu, un peu, nous y arriverons.
Il faut faire en sorte que notre football se relève et reprenne sa marche victorieuse. Car il n’y a pas très longtemps, ce football ivoirien était craint. Grâce aux « diablotins » sortis de l’Académie de l’Asec mimosas, du Centre national de sport de haut niveau (Cnshn) de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) et d’autres structures sérieuses de l’époque, la Côte d’Ivoire était presque qualifiée d’office à chaque compétition continentale, au niveau des jeunes.
Le pays était un modèle de formation de jeunes footballeurs, envié et copié. On revoit encore ces belles images de Walter Ammann sous le soleil organiser des championnats de jeunes. « Génération Ivoiris » (1999-2004) a vu passer des joueurs qui sont devenus des professionnels et ont porté les couleurs nationales. Voilà un chantier important qui mérite qu’on s’y attarde.
La Can 2023 va passer. Et puis, il y a un comité qui existe déjà pour l’organiser... Cette organisation va nous laisser un héritage immense. Des stades de qualité pour qu’enfin la Côte d’Ivoire puisse mériter son statut de nation de football. Que fera la Fif, de ces stades, après la compétition ?
Une question parmi tant d’autres qui devraient être les préoccupations de la faîtière de football. Surtout que juste après la Can 2023 (qui se déroulera en 2024), l’année suivante est électorale.
Mon conseil, restons focus sur nos objectifs. Peut-être que c’est le moment pour Yacine Idriss Diallo de faire un état général des lieux. Un symposium, par exemple, pour le renouveau du football ivoirien.