Directeur général, Adama Coulibaly
Lancement de la 4è édition du Sietta : Des assises pour amplifier la dynamique de la transformation de l’anacarde
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a procédé au lancement de la 4è édition du Sietta, 12 janvier 2023, à Abidjan-Plateau.
Après quelques années d’interruption du fait de la pandémie à Covid-19, la 4è édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (Sietta) se tiendra du 30 mars au 1er avril prochain. Le lancement de ce Salon a eu lieu, le jeudi 12 janvier 2023, au Plateau.
A cette occasion, le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Kobénan Kouassi Adjoumani, a mis en évidence sa joie de voir le retour de cet important événement. Il a souligné que malgré un contexte international difficile, la filière cajou se porte bien.
S’agissant notamment de la transformation, le ministre a fait savoir que de 9% en 2018 avec 68 515 tonnes de noix brutes transformées, le taux de transformation locale a atteint 14,1% en 2021 avec 136 854 tonnes et 21,25% en 2022 avec plus de 218 000 tonnes. A l’en croire, la 4ème édition du Sietta sera consacrée, comme à l’accoutumée, à la promotion des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde en créant les conditions de leur accessibilité aux investisseurs nationaux et internationaux. « Elle permettra d’offrir à l’ensemble des acteurs de la filière cajou, une plateforme de rencontres, d’échanges et de partage d’expériences sur les problématiques liées à la production et à la transformation du cajou », a-t-il ajouté.
Le ministre de l’Agriculture et du développement rural a réaffirmé que le gouvernement ivoirien est engagé à faire de la filière anacarde, un secteur majeur de l’économie nationale. « Pour notre pays, il s’agit de devenir le pionnier de la transformation structurelle de cette filière en Afrique et l’acteur majeur de ce secteur dans le monde. L’objectif étant de créer des emplois et de la richesse permettant d’améliorer les conditions de vie de nos populations », a-t-il insisté.
Quant au directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, Adama Coulibaly, par ailleurs, commissaire général du Sietta, le thème de cette édition : « Contribution de l’industrie du cajou à la résilience des économies africaines face aux défis économiques mondiaux », en dit long. Car, a-t-il dit, en dépit de la crise économique mondiale, son pays est le premier exportateur de noix brutes de cajou, avec plus de 800.000 tonnes et le 3e exportateur mondial d’amande de cajou. Il a annoncé que pour cette édition, une quinzaine d’équipementiers sont attendus pour quinze mille visiteurs par jour.
Initié en 2014, le Sietta est un événement d’envergure internationale qui réunit et expose le savoir-faire technologique de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique et du monde dans le secteur des technologies de la transformation du cajou.
Il vise notamment à accroître la valeur ajoutée locale de l’anacarde par la création des conditions d’accessibilité des investisseurs aux équipements et technologies de transformation. Le Sietta est une plateforme d’exposition, de démonstration, de vente, d’innovations en matière de transformation et d’échanges entre les professionnels du secteur.
Ce salon est né suite à la mise en œuvre de la réforme engagée en 2013 dans le secteur agricole, et singulièrement dans la filière anacarde par le président de la République, Alassane Ouattara. Cette réforme a permis à la Côte d’Ivoire de faire un bond qualitatif pour occuper le rang de premier producteur mondial d’anacarde. Avec une production qui a doublé en onze ans, passant ainsi de 400 mille tonnes en 2011 à 1 million de tonne en 2022. La 3è édition a eu lieu en 2018, après celle de 2014 et 2016.
S’agissant notamment de la transformation, le ministre a fait savoir que de 9% en 2018 avec 68 515 tonnes de noix brutes transformées, le taux de transformation locale a atteint 14,1% en 2021 avec 136 854 tonnes et 21,25% en 2022 avec plus de 218 000 tonnes. A l’en croire, la 4ème édition du Sietta sera consacrée, comme à l’accoutumée, à la promotion des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde en créant les conditions de leur accessibilité aux investisseurs nationaux et internationaux. « Elle permettra d’offrir à l’ensemble des acteurs de la filière cajou, une plateforme de rencontres, d’échanges et de partage d’expériences sur les problématiques liées à la production et à la transformation du cajou », a-t-il ajouté.
Le ministre de l’Agriculture et du développement rural a réaffirmé que le gouvernement ivoirien est engagé à faire de la filière anacarde, un secteur majeur de l’économie nationale. « Pour notre pays, il s’agit de devenir le pionnier de la transformation structurelle de cette filière en Afrique et l’acteur majeur de ce secteur dans le monde. L’objectif étant de créer des emplois et de la richesse permettant d’améliorer les conditions de vie de nos populations », a-t-il insisté.
Quant au directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, Adama Coulibaly, par ailleurs, commissaire général du Sietta, le thème de cette édition : « Contribution de l’industrie du cajou à la résilience des économies africaines face aux défis économiques mondiaux », en dit long. Car, a-t-il dit, en dépit de la crise économique mondiale, son pays est le premier exportateur de noix brutes de cajou, avec plus de 800.000 tonnes et le 3e exportateur mondial d’amande de cajou. Il a annoncé que pour cette édition, une quinzaine d’équipementiers sont attendus pour quinze mille visiteurs par jour.
Initié en 2014, le Sietta est un événement d’envergure internationale qui réunit et expose le savoir-faire technologique de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique et du monde dans le secteur des technologies de la transformation du cajou.
Il vise notamment à accroître la valeur ajoutée locale de l’anacarde par la création des conditions d’accessibilité des investisseurs aux équipements et technologies de transformation. Le Sietta est une plateforme d’exposition, de démonstration, de vente, d’innovations en matière de transformation et d’échanges entre les professionnels du secteur.
Ce salon est né suite à la mise en œuvre de la réforme engagée en 2013 dans le secteur agricole, et singulièrement dans la filière anacarde par le président de la République, Alassane Ouattara. Cette réforme a permis à la Côte d’Ivoire de faire un bond qualitatif pour occuper le rang de premier producteur mondial d’anacarde. Avec une production qui a doublé en onze ans, passant ainsi de 400 mille tonnes en 2011 à 1 million de tonne en 2022. La 3è édition a eu lieu en 2018, après celle de 2014 et 2016.