Assassinat d’Amilcar Cabral : 50 ans après, sa veuve revient sur les faits
Ana Maria Cabral : Il avait déjà reçu plusieurs renseignements des services d’espionnage de divers pays amis de l’époque... C’est moi qui n’étais au courant de rien. Mais j’ai vu qu’il était très soucieux ce jour-là. Il était très, très inquiet.
Après, il y avait une réception, si je ne me trompe, à l’ambassade de Pologne. Il n’était pas franchement du genre à fréquenter souvent les réceptions... Mais là il m’a dit « exceptionnellement, allons-y, d’autant plus qu’on n’a jamais reçu d’aide de la part de la Pologne. Allons-y, donc, pour leur rappeler que nous avons également besoin de leur solidarité. ». Lire la suite...