Développement des filières avicoles : La capacité nationale de production d’aliments de volaille est de 120 000 tonnes
La disponibilité des aliments de volaille en Côte d’Ivoire vient d’être renforcée par l’implantation d’une nouvelle usine, d’une capacité de production de 120 000 tonnes d’aliments de volaille par an et à terme, 250 000 tonnes.
Implantée sur le site de la nouvelle zone industrielle d’Akoupé-Zeudji PK 24, l’usine de la société Koudijs, filiale du groupe neerlandais De Heus, a été inaugurée, le jeudi 19 janvier, par le ministre Sidi Tiémoko Touré des Ressources animales et halieutiques et son collègue Souleymane Diarrassouba, du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme.
Cette usine qui va contribuer au développement des filières avicoles en Côte d’Ivoire par la disponibilité des aliments de volaille, a coûté 9,8 milliards de F Cfa. Elle va permettre la création de 55 emplois directs et 76 emplois indirects.
Une initiative qui cadre parfaitement avec la politique de transformation des matières premières agricoles locales et de l’import substitution prônée par le gouvernement, qui a adopté une réforme visant à accélérer le développement de la production et de la transformation des produits agricoles alimentaires.
C’est pourquoi le ministre Souleymane Diarrassouba s’est félicité de cette implantation qui, à l’en croire, va pouvoir fournir des aliments de volaille à des coûts compétitifs. Surtout que la société Koudijs aura recours à des matières premières locales que sont le maïs, le riz, l’huile de palme, le tourteau de soja, le tourteau de palme ainsi que le manioc.
Sidi Tiémoko Touré, pour sa part, a souligné que cette usine va réduire la dépendance de la Côte d’Ivoire des produits importés. Elle va permettre également de réduire le coût d’achat des aliments de volaille.
« Cette usine moderne inaugurée est la parfaite illustration que le train est en marche. Que la Côte d’Ivoire est engagée à améliorer la production animale. Elle va permettre de renforcer la capacité de production locale en matière d’alimentation animale pour le besoin des marchés ainsi que pour les éleveurs. Mais aussi de créer des conditions qui permettront d’améliorer l’ensemble des processus des filières avicoles et la qualité des services proposés », a ajouté Sidi Touré.
Le minitre est convaincu qu’au-delà du rôle que doit jouer le secteur privé pour relever le défi de la professionnalisation et de la modernisation des filières avicoles, la production locale va jouer un rôle très important dans la baisse des coûts des produits de la production animale.
C’est pourquoi il a lancé un appel au secteur privé à investir dans la production locale des aliments des animaux car elle va connaître une forte croissance.
« Avec l’implantation de cette usine, le groupe De Heus souhaite démontrer son engagement et sa volonté de participer pleinement au développement du secteur agricole et à l’essor de la production animale en Côte d’Ivoire », a affirmé Mark Hop, directeur général de De Heus Côte d’Ivoire.
Il a souligné que le choix de la Côte d’Ivoire pour l’implantation de l’usine n’est pas fortuit. En effet, selon lui, le gouvernement ivoirien, ces dernières années, a entrepris des réformes et mis en place des plans stratégiques pour instaurer un environnement économique et une gouvernance propice à l’investissement. C’est pourquoi, le groupe de Heus s’est inscrit dans la volonté du gouvernement ivoirien qui est de faire du secteur avicole ivoirien un secteur industriel qui offre en quantité suffisante des produits de qualité à des prix compétitifs. Tant sur le marché national et sous-régional.
Cette usine qui va contribuer au développement des filières avicoles en Côte d’Ivoire par la disponibilité des aliments de volaille, a coûté 9,8 milliards de F Cfa. Elle va permettre la création de 55 emplois directs et 76 emplois indirects.
Une initiative qui cadre parfaitement avec la politique de transformation des matières premières agricoles locales et de l’import substitution prônée par le gouvernement, qui a adopté une réforme visant à accélérer le développement de la production et de la transformation des produits agricoles alimentaires.
C’est pourquoi le ministre Souleymane Diarrassouba s’est félicité de cette implantation qui, à l’en croire, va pouvoir fournir des aliments de volaille à des coûts compétitifs. Surtout que la société Koudijs aura recours à des matières premières locales que sont le maïs, le riz, l’huile de palme, le tourteau de soja, le tourteau de palme ainsi que le manioc.
Sidi Tiémoko Touré, pour sa part, a souligné que cette usine va réduire la dépendance de la Côte d’Ivoire des produits importés. Elle va permettre également de réduire le coût d’achat des aliments de volaille.
« Cette usine moderne inaugurée est la parfaite illustration que le train est en marche. Que la Côte d’Ivoire est engagée à améliorer la production animale. Elle va permettre de renforcer la capacité de production locale en matière d’alimentation animale pour le besoin des marchés ainsi que pour les éleveurs. Mais aussi de créer des conditions qui permettront d’améliorer l’ensemble des processus des filières avicoles et la qualité des services proposés », a ajouté Sidi Touré.
Le minitre est convaincu qu’au-delà du rôle que doit jouer le secteur privé pour relever le défi de la professionnalisation et de la modernisation des filières avicoles, la production locale va jouer un rôle très important dans la baisse des coûts des produits de la production animale.
C’est pourquoi il a lancé un appel au secteur privé à investir dans la production locale des aliments des animaux car elle va connaître une forte croissance.
« Avec l’implantation de cette usine, le groupe De Heus souhaite démontrer son engagement et sa volonté de participer pleinement au développement du secteur agricole et à l’essor de la production animale en Côte d’Ivoire », a affirmé Mark Hop, directeur général de De Heus Côte d’Ivoire.
Il a souligné que le choix de la Côte d’Ivoire pour l’implantation de l’usine n’est pas fortuit. En effet, selon lui, le gouvernement ivoirien, ces dernières années, a entrepris des réformes et mis en place des plans stratégiques pour instaurer un environnement économique et une gouvernance propice à l’investissement. C’est pourquoi, le groupe de Heus s’est inscrit dans la volonté du gouvernement ivoirien qui est de faire du secteur avicole ivoirien un secteur industriel qui offre en quantité suffisante des produits de qualité à des prix compétitifs. Tant sur le marché national et sous-régional.