Le Président de la République, Alassane Ouattara
Remise du Prix Félix Houphouët-Boigny : Ouattara perpétue une tradition de Paix
Une belle cérémonie remplie de symboles a réuni les leaders politiques ivoiriens sur les terres natales de l’instigateur du Prix, Félix Houphouët-Boigny, à Yamoussoukro. L’ancienne Chancelière allemande, Angela Merkel, a à cet effet reçu le Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la Paix.
À cette occasion, le Président de la République, Alassane Ouattara, a, le mercredi 8 février 2023, eu un mot de paix pour ses prédécesseurs présents dans la salle dans l’esprit de perpétuer cette tradition ivoirienne. Il a aussi ajouté que la construction de la paix est un credo de la Côte d’Ivoire.
Saisissant cette tribune, il a rappelé au monde entier que la Côte d’Ivoire a pour icône la paix. Appelé « cher aîné » par le Chef de l’État, Henri Konan Bédié, protecteur du Prix, n’a pas boudé son plaisir. Il a même esquissé des pas de danse au son de la musique du Groupe Magic System.
Pour Alassane Ouattara, la paix ne peut se réaliser que par les actes. C’est pourquoi la présence de son « cadet » Laurent Gbagbo à cette solennité prouve que la Côte d’Ivoire retrouve la sérénité. Le Président Ouattara ne fait que poser des actions en faveur de la paix. C’est pourquoi, il a rappelé cette citation de Félix Houphouët-Boigny. « La paix n’est pas un vain mot, mais un comportement ».
Alassane Ouattara s’est référé avec fierté à ce proverbe qui est en fait une citation provenant d'un discours du premier Président ivoirien. Un proverbe qui fait le lien entre la Paix, avec un grand P, et les comportements. En d’autres termes, la paix ne peut être effective sans une transformation des attitudes, des valeurs, des conduites tant individuelles que collectives.
En créant le Prix Félix Houphouët-Boigny-Unesco pour la recherche de la paix, le père de la Côte d'Ivoire moderne voulait démontrer son attachement à la paix, une paix universelle pour le bien-être des peuples.
La tenue de cet événement en Côte d'Ivoire pour la deuxième fois est la consécration de la paix retrouvée. Ainsi, le Président Alassane Ouattara démontre une fois de plus son leadership en Afrique et dans le monde.
Outre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, le Président ivoirien avait à ses côtés des Chefs d’État du Liberia, de la Guinée-Bissau, du Sénégal, du Ghana, de la vice-Présidente du Gabon, des chefs de gouvernement et de la directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay.
Saisissant cette tribune, il a rappelé au monde entier que la Côte d’Ivoire a pour icône la paix. Appelé « cher aîné » par le Chef de l’État, Henri Konan Bédié, protecteur du Prix, n’a pas boudé son plaisir. Il a même esquissé des pas de danse au son de la musique du Groupe Magic System.
Pour Alassane Ouattara, la paix ne peut se réaliser que par les actes. C’est pourquoi la présence de son « cadet » Laurent Gbagbo à cette solennité prouve que la Côte d’Ivoire retrouve la sérénité. Le Président Ouattara ne fait que poser des actions en faveur de la paix. C’est pourquoi, il a rappelé cette citation de Félix Houphouët-Boigny. « La paix n’est pas un vain mot, mais un comportement ».
Alassane Ouattara s’est référé avec fierté à ce proverbe qui est en fait une citation provenant d'un discours du premier Président ivoirien. Un proverbe qui fait le lien entre la Paix, avec un grand P, et les comportements. En d’autres termes, la paix ne peut être effective sans une transformation des attitudes, des valeurs, des conduites tant individuelles que collectives.
En créant le Prix Félix Houphouët-Boigny-Unesco pour la recherche de la paix, le père de la Côte d'Ivoire moderne voulait démontrer son attachement à la paix, une paix universelle pour le bien-être des peuples.
La tenue de cet événement en Côte d'Ivoire pour la deuxième fois est la consécration de la paix retrouvée. Ainsi, le Président Alassane Ouattara démontre une fois de plus son leadership en Afrique et dans le monde.
Outre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, le Président ivoirien avait à ses côtés des Chefs d’État du Liberia, de la Guinée-Bissau, du Sénégal, du Ghana, de la vice-Présidente du Gabon, des chefs de gouvernement et de la directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay.