Éducation nationale : 35 agents renforcent leurs capacités dans divers domaines
Au nombre de 35, ces agents bénéficieront d’outils nécessaires, de renforcement de capacités dans divers domaines tels que le suivi-évaluation, la pédagogie, les réformes curriculaires et la masse critique.
A l’issue de cette formation qui a débuté le 13 février, ils bénéficieront également de cinq mois de formation en ligne avec des suivis whatsapp et des regroupes. Cette activité qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations des États généraux de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation (Egena), bénéficie du soutien du Bureau international de l’éducation (Bie) représenté par son directeur, Ido Seydou Yao.
Il s’agit, à travers cette session de formation qui prendra fin le 17 février prochain, de revisiter les curriculas et de les adapter aux réalités du moment afin de rendre les systèmes éducatifs plus résilients. Cette session se fait autour de plusieurs leviers, notamment l’allègement des programmes, la promotion de la créativité et de la mémorisation, l’esprit critique, la mise en place d’un quantum horaire approprié, la digitalisation et l’intelligence artificielle, le changement de la culture de l’évaluation, ainsi que la promotion des cultures endogènes et de l’histoire générale de l’Afrique.
Au cours de son allocution, la ministre Mariatou Koné a engagé les participants à la pro-activité, à l’assiduité durant cette formation. Exprimant la gratitude du gouvernement à l’Unesco, la ministre a décliné les quatre grandes priorités des recommandations des Egena que sont l’amélioration de l’apprentissage, la réforme de la fonction enseignante, l’encadrement de l’enseignement non formel et la transformation digitale. Outre la présence d’experts, cette cérémonie a enregistré également la présence de la déléguée permanente et ambassadeur de la Côte d’Ivoire à l’Unesco, la ministre Bakayoko Ly Ramata, ainsi que celle du directeur général de l’École normale supérieure (Ens). Créées en 1925, les missions principales du Bie portent sur l’amélioration des curriculas. Son mandat a été renouvelé par la conférence générale de l’Unesco.
Il s’agit, à travers cette session de formation qui prendra fin le 17 février prochain, de revisiter les curriculas et de les adapter aux réalités du moment afin de rendre les systèmes éducatifs plus résilients. Cette session se fait autour de plusieurs leviers, notamment l’allègement des programmes, la promotion de la créativité et de la mémorisation, l’esprit critique, la mise en place d’un quantum horaire approprié, la digitalisation et l’intelligence artificielle, le changement de la culture de l’évaluation, ainsi que la promotion des cultures endogènes et de l’histoire générale de l’Afrique.
Au cours de son allocution, la ministre Mariatou Koné a engagé les participants à la pro-activité, à l’assiduité durant cette formation. Exprimant la gratitude du gouvernement à l’Unesco, la ministre a décliné les quatre grandes priorités des recommandations des Egena que sont l’amélioration de l’apprentissage, la réforme de la fonction enseignante, l’encadrement de l’enseignement non formel et la transformation digitale. Outre la présence d’experts, cette cérémonie a enregistré également la présence de la déléguée permanente et ambassadeur de la Côte d’Ivoire à l’Unesco, la ministre Bakayoko Ly Ramata, ainsi que celle du directeur général de l’École normale supérieure (Ens). Créées en 1925, les missions principales du Bie portent sur l’amélioration des curriculas. Son mandat a été renouvelé par la conférence générale de l’Unesco.