Parc national de la Comoé : Le schéma de planification du nouveau plan d’aménagement présenté aux partenaires
La Direction de la Zone Nord-est de l’Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr) a organisé le 25 novembre 2024 au siège de l’institution à Abidjan-Cocody, l’atelier de validation du schéma de planification 2025-2034 du plan d’aménagement et de gestion (Pag) du Parc national de la Comoé (Pnc). Cet atelier intervient au terme du précédent Pag exécuté sur la période 2015-2024.
Les travaux ont mobilisé toutes les parties prenantes dans la gestion de l’aire protégée. Notamment les partenaires techniques et financiers, les Conseils régionaux du Hambol, du Tchologo et du Bounkani ; le Corps préfectoral, les autorités coutumières qui ont unanimement exprimé leur satisfécit de l’exercice précédent. D’autant plus que le Pnc a subi une longue période d’abandon dû la crise socio-politique qu’a connu le pays de 2002 à 2011.
A l’occasion, le Directeur général de l’Oipr, le Conservateur général, Tondossama Adama, s’est réjoui de la confiance des partenaires techniques et financiers qui sont satisfaits de la première phase et accompagnent la seconde. « C’est un outil de gestion du parc qu’on nous a présenté et je peux dire que cela est très satisfaisant. On se rend compte des bons résultats de la gestion faite de ce joyau, rien qu’avec l’augmentation des effectifs des espèces fauniques ». Soulignant le caractère inclusif du Pag, Tondossama Adama a indiqué que l’autre élément qui est important, c’est l’implication de toutes les parties prenantes, notamment, les préfets, les populations, les partenaires techniques et financiers et autres qui sont présents à l’atelier. « Vous voyez que ce n’est pas L’Oipr seulement qui est présent. Nous faisons la validation de cet outil qui sera mis en œuvre de 2025-2034, dont les résultats des travaux du comité technique proposés sont globalement satisfaisants », leur a-t-il indiqué.
Le Dg de l’Oipr a également appelé à une nouvelle de mobilisation de la part des parties prenantes pour des résultats davantage importants. « Le bilan qui nous a été fait de la mise en œuvre du PAG 2015-2025 est satisfaisant, mais il nous reste à fournir plus d’effort parce que l’aspect valorisation touristique nous tient à cœur. Pour sa réalisation, nous allons demander l’implantation d’autres acteurs dont le secteur privé pour nous aider à mettre en place les infrastructures touristiques » a-t-il lancé.
Rappelant que le Pnc « est un poumon vert et une véritable barrière contre l’avancée du désert dans la sous-région », le Directeur de Zone Nord-Est, Kouadio Yao Roger a salué le fait que l’État ait restauré son autorité sur l’aire protégée et dont la résultante a été son retrait de la liste des sites du patrimoine mondial en péril.
« Au cours des 10 dernières années, on a pu mettre en œuvre 70 % des activités planifiées grâce à l’appui des partenaires techniques et financiers dont KFW. Nous avons restauré la confiance entre le gestionnaire et les populations, ce qui est l’un des piliers de la gestion d’une aire protégée. On voit que les espèces dont les effectifs avaient baissé sont en nette augmentation. Cela dit, le potentiel touristique est là. Alors nous disons que ces résultats sont au compte du Pag qui vient de finir » a déclaré Kouadio Yao Roger.
A l’occasion, le Directeur général de l’Oipr, le Conservateur général, Tondossama Adama, s’est réjoui de la confiance des partenaires techniques et financiers qui sont satisfaits de la première phase et accompagnent la seconde. « C’est un outil de gestion du parc qu’on nous a présenté et je peux dire que cela est très satisfaisant. On se rend compte des bons résultats de la gestion faite de ce joyau, rien qu’avec l’augmentation des effectifs des espèces fauniques ». Soulignant le caractère inclusif du Pag, Tondossama Adama a indiqué que l’autre élément qui est important, c’est l’implication de toutes les parties prenantes, notamment, les préfets, les populations, les partenaires techniques et financiers et autres qui sont présents à l’atelier. « Vous voyez que ce n’est pas L’Oipr seulement qui est présent. Nous faisons la validation de cet outil qui sera mis en œuvre de 2025-2034, dont les résultats des travaux du comité technique proposés sont globalement satisfaisants », leur a-t-il indiqué.
Le Dg de l’Oipr a également appelé à une nouvelle de mobilisation de la part des parties prenantes pour des résultats davantage importants. « Le bilan qui nous a été fait de la mise en œuvre du PAG 2015-2025 est satisfaisant, mais il nous reste à fournir plus d’effort parce que l’aspect valorisation touristique nous tient à cœur. Pour sa réalisation, nous allons demander l’implantation d’autres acteurs dont le secteur privé pour nous aider à mettre en place les infrastructures touristiques » a-t-il lancé.
Rappelant que le Pnc « est un poumon vert et une véritable barrière contre l’avancée du désert dans la sous-région », le Directeur de Zone Nord-Est, Kouadio Yao Roger a salué le fait que l’État ait restauré son autorité sur l’aire protégée et dont la résultante a été son retrait de la liste des sites du patrimoine mondial en péril.
« Au cours des 10 dernières années, on a pu mettre en œuvre 70 % des activités planifiées grâce à l’appui des partenaires techniques et financiers dont KFW. Nous avons restauré la confiance entre le gestionnaire et les populations, ce qui est l’un des piliers de la gestion d’une aire protégée. On voit que les espèces dont les effectifs avaient baissé sont en nette augmentation. Cela dit, le potentiel touristique est là. Alors nous disons que ces résultats sont au compte du Pag qui vient de finir » a déclaré Kouadio Yao Roger.