Dialogue État/secteur privé : Le calendrier de travail 2023 en cours de validation
Le ministre de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, par ailleurs président du Comité technique de concertation État/secteur privé, a proposé le 16 février 2023, à l’immeuble Sciam à Abidjan-Plateau, un calendrier de travail pour l’année 2023. C’était au cours de la première réunion du comité, en présence de son collègue en charge du Budget et du Portefeuille de l’État, Moussa Sanogo.
Au cours des échanges, Adama Coulibaly a fait la proposition d’un calendrier de quatre réunions du Comité technique de concertation (Ctc) dans l’année, à raison d’une session par trimestre en plus de deux réunions du Conseil de concertation. Il a été également proposé que ces rencontres soient thématiques afin d'aller plus en profondeur dans le traitement des problématiques.
Il est à noter que cette réunion du Ctc a eu pour objectif principal de passer en revue d'une part, l’ensemble des avancées qui portent sur les attentes du secteur privé et d'autre part, de valider le calendrier de travail de l’année 2023. Cela, dans l'optique d’adopter une démarche consensuelle dans le traitement des différentes préoccupations des acteurs du privé issues du séminaire gouvernemental de Yamoussoukro les 12 et 13 novembre 2022.
De façon spécifique, les travaux ont porté sur les informations relatives à l’état d’avancement du programme Pepite (dont le deadline de soumission des dossiers initialement prévu le 31 décembre 2022 est repoussé au 28 février 2023) ; l’état d’avancement des activités des Groupes de travail issus du séminaire gouvernemental et le calendrier de travail.
Pour rappel, le Premier ministre, Patrick Achi, avait donné des instructions pour la poursuite du dialogue avec le secteur privé sur un certain nombre de préoccupations en rapport avec les objectifs de la vision 2030 et les principaux chantiers du gouvernement en 2023. Cela, en ayant en ligne de mire le programme « Une Côte d’Ivoire solidaire » du Président Alassane Ouattara et du Plan national de développement (Pnd) 2021-2025.
Du chemin parcouru depuis Yamoussoukro
À l’occasion, le ministre de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, a dit toute sa joie de voir les choses évoluer dans le sens souhaité par les deux parties, depuis la dernière rencontre tenue dans la capitale politique du pays.
« Après les préoccupations émises dans le cadre des échanges à Yamoussoukro, il était question lors de cette rencontre de voir comment les choses ont évolué sur un certain nombre de sujets. Nous avons convenu de poursuivre le travail, d’approfondir les questions et que les diligences nouvelles exprimées soient documentées, afin qu’elles puissent être prises en compte..., je puis dire que nous avons eu une bonne réunion », a-t-il indiqué.
L’argentier ivoirien a également relevé que du chemin a été parcouru depuis, pour gérer - à travers les rencontres et groupes de travail spécifiques - les différents sujets qui encadrent le quotidien des entreprises et les réalités de l’économie nationale.
« Je compte donc sur la mobilisation de tous les membres du Comité technique de concertation pour que nous puissions garder ces acquis et relever les défis de développement de notre pays à travers un cadre de concertation dynamique », a-t-il souhaité. Avant de préciser : « Quand on dit que le secteur privé joue un rôle important dans la mise en œuvre du Pnd, cela veut dire aussi qu’il faut être attentif aux préoccupations dudit secteur. Notamment, en matière d’amélioration du climat des affaires pour que l’économie de notre pays continue d’être compétitive ».
Les parties en phase
Pour sa part, Ahmed Cissé, président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), a émis de nouvelles préoccupations qui ont été enregistrées et qui seront versées au Secrétariat exécutif du Comité de concertation État/secteur privé (Se-Ccesp).
Celles-ci devront être documentées afin d'être approfondies par le comité. Il a également exprimé son satisfécit. « Nous nous réjouissons de la tenue effective de ce premier Comité technique de concertation de l’année 2023. Je sais tout l’intérêt que l’État attache au dialogue public-privé et je voudrais vous assurer de notre disponibilité à y prendre part et à jouer le rôle qui est le nôtre pour sa réussite », a-t-il promis.
Le patron des patrons ivoiriens a aussi exprimé sa gratitude au ministre de l’Économie et des Finances, au gouvernement ainsi qu'au Président de la République.
Il est à noter que cette réunion du Ctc a eu pour objectif principal de passer en revue d'une part, l’ensemble des avancées qui portent sur les attentes du secteur privé et d'autre part, de valider le calendrier de travail de l’année 2023. Cela, dans l'optique d’adopter une démarche consensuelle dans le traitement des différentes préoccupations des acteurs du privé issues du séminaire gouvernemental de Yamoussoukro les 12 et 13 novembre 2022.
De façon spécifique, les travaux ont porté sur les informations relatives à l’état d’avancement du programme Pepite (dont le deadline de soumission des dossiers initialement prévu le 31 décembre 2022 est repoussé au 28 février 2023) ; l’état d’avancement des activités des Groupes de travail issus du séminaire gouvernemental et le calendrier de travail.
Pour rappel, le Premier ministre, Patrick Achi, avait donné des instructions pour la poursuite du dialogue avec le secteur privé sur un certain nombre de préoccupations en rapport avec les objectifs de la vision 2030 et les principaux chantiers du gouvernement en 2023. Cela, en ayant en ligne de mire le programme « Une Côte d’Ivoire solidaire » du Président Alassane Ouattara et du Plan national de développement (Pnd) 2021-2025.
Du chemin parcouru depuis Yamoussoukro
À l’occasion, le ministre de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, a dit toute sa joie de voir les choses évoluer dans le sens souhaité par les deux parties, depuis la dernière rencontre tenue dans la capitale politique du pays.
« Après les préoccupations émises dans le cadre des échanges à Yamoussoukro, il était question lors de cette rencontre de voir comment les choses ont évolué sur un certain nombre de sujets. Nous avons convenu de poursuivre le travail, d’approfondir les questions et que les diligences nouvelles exprimées soient documentées, afin qu’elles puissent être prises en compte..., je puis dire que nous avons eu une bonne réunion », a-t-il indiqué.
L’argentier ivoirien a également relevé que du chemin a été parcouru depuis, pour gérer - à travers les rencontres et groupes de travail spécifiques - les différents sujets qui encadrent le quotidien des entreprises et les réalités de l’économie nationale.
« Je compte donc sur la mobilisation de tous les membres du Comité technique de concertation pour que nous puissions garder ces acquis et relever les défis de développement de notre pays à travers un cadre de concertation dynamique », a-t-il souhaité. Avant de préciser : « Quand on dit que le secteur privé joue un rôle important dans la mise en œuvre du Pnd, cela veut dire aussi qu’il faut être attentif aux préoccupations dudit secteur. Notamment, en matière d’amélioration du climat des affaires pour que l’économie de notre pays continue d’être compétitive ».
Les parties en phase
Pour sa part, Ahmed Cissé, président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), a émis de nouvelles préoccupations qui ont été enregistrées et qui seront versées au Secrétariat exécutif du Comité de concertation État/secteur privé (Se-Ccesp).
Celles-ci devront être documentées afin d'être approfondies par le comité. Il a également exprimé son satisfécit. « Nous nous réjouissons de la tenue effective de ce premier Comité technique de concertation de l’année 2023. Je sais tout l’intérêt que l’État attache au dialogue public-privé et je voudrais vous assurer de notre disponibilité à y prendre part et à jouer le rôle qui est le nôtre pour sa réussite », a-t-il promis.
Le patron des patrons ivoiriens a aussi exprimé sa gratitude au ministre de l’Économie et des Finances, au gouvernement ainsi qu'au Président de la République.