Secteur bancaire : Les acteurs réfléchissent aux solutions idoines pour répondre aux défis
Plus de 400 experts, analystes, financiers et banquiers sont réunis du 23 au 24 février à Abidjan à Moon Hôtel. Ils participent à la 14e édition d’Africa Banking Forum qui vise à analyser les défis ainsi que les enjeux actuels et évolutifs des secteurs bancaire et financier. Ces décideurs vont apporter des réponses claires et cohérentes aux différentes problématiques liées à la banque en Afrique.
Sur le thème “La dynamique bancaire africaine, levier de relance et d’intégration”, ces décideurs venus de 30 pays vont débattre, échanger et partager les expériences, expertises et meilleures pratiques. Tout ceci, dans l’objectif de mettre en avant le rôle central que joue le secteur bancaire dans les plans de relance économique, les politiques d’intégration et dans le financement des activités économiques sur le continent.
C’est pourquoi le ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, s’est réjoui de cet important rendez-vous qu’accueille son pays. Car, selon lui, au niveau de la Côte d’Ivoire, le secteur bancaire demeure un partenaire privilégié du gouvernement pour relever les défis du financement du secteur privé.
“Les banques ivoiriennes, à l’instar de leurs consœurs africaines, évoluent dans un environnement concurrentiel. Elles doivent donc s’adapter aux besoins d’une clientèle de plus en plus exigeante et hétéroclite. Aussi, elles devront apporter des solutions innovantes en intégrant dans le circuit du financement des populations non encore couvertes”, fait-il savoir.
A cet égard, dit-il, il convient de noter que l’inclusion financière qui permet, notamment l’accès des populations à des services financiers adaptés et durables, connaît un développement croissant.
C’est pourquoi, avoue-t-il, l’Afrique a plus que jamais besoin de ses banques. Parce qu’elles demeurent, à l’en croire, un soutien majeur pour le redressement de l’économie africaine en adaptant leur modèle d’affaires aux évolutions technologiques.
Raison pour laquelle, il a réitéré la disponibilité du gouvernement de la Côte d’Ivoire à soutenir les initiatives de One Africa et ses partenaires dans les instances régionales et continentales à l’effet de permettre aux banques d’assurer pleinement leur rôle d’acteurs incontournables de développement économique du continent. Hind Sidqui, directrice générale de One Africa qui organise le forum en collaboration avec les associations bancaires sous régionales sous l’égide du ministère de l’Économie et des Finances de Côte d’Ivoire, a déclaré que durant ces deux jours, il s’agira surtout de discuter de l’avenir de la banque africaine et, de façon spécifique, voir comment la banque peut-elle apporter un plus à la résilience économique et à l’intégration régionale.
Selon elle, les banques africaines ont enregistré d’importants progrès ces dernières années. En prenant l’exemple de la Côte d’Ivoire qui, selon elle, connaît une croissance macro-économique remarquable. « Les performances macroéconomiques que la Côte d’Ivoire est en train de connaître et qui sont en partie attribuables au secteur bancaire qui a soutenu les importants investissements réalisés pendant la crise sanitaire méritent d’être mises en lumière et justifient le choix de la destination de cette 14e édition », a-t-elle déclaré.
C’est pourquoi le ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, s’est réjoui de cet important rendez-vous qu’accueille son pays. Car, selon lui, au niveau de la Côte d’Ivoire, le secteur bancaire demeure un partenaire privilégié du gouvernement pour relever les défis du financement du secteur privé.
“Les banques ivoiriennes, à l’instar de leurs consœurs africaines, évoluent dans un environnement concurrentiel. Elles doivent donc s’adapter aux besoins d’une clientèle de plus en plus exigeante et hétéroclite. Aussi, elles devront apporter des solutions innovantes en intégrant dans le circuit du financement des populations non encore couvertes”, fait-il savoir.
A cet égard, dit-il, il convient de noter que l’inclusion financière qui permet, notamment l’accès des populations à des services financiers adaptés et durables, connaît un développement croissant.
C’est pourquoi, avoue-t-il, l’Afrique a plus que jamais besoin de ses banques. Parce qu’elles demeurent, à l’en croire, un soutien majeur pour le redressement de l’économie africaine en adaptant leur modèle d’affaires aux évolutions technologiques.
Raison pour laquelle, il a réitéré la disponibilité du gouvernement de la Côte d’Ivoire à soutenir les initiatives de One Africa et ses partenaires dans les instances régionales et continentales à l’effet de permettre aux banques d’assurer pleinement leur rôle d’acteurs incontournables de développement économique du continent. Hind Sidqui, directrice générale de One Africa qui organise le forum en collaboration avec les associations bancaires sous régionales sous l’égide du ministère de l’Économie et des Finances de Côte d’Ivoire, a déclaré que durant ces deux jours, il s’agira surtout de discuter de l’avenir de la banque africaine et, de façon spécifique, voir comment la banque peut-elle apporter un plus à la résilience économique et à l’intégration régionale.
Selon elle, les banques africaines ont enregistré d’importants progrès ces dernières années. En prenant l’exemple de la Côte d’Ivoire qui, selon elle, connaît une croissance macro-économique remarquable. « Les performances macroéconomiques que la Côte d’Ivoire est en train de connaître et qui sont en partie attribuables au secteur bancaire qui a soutenu les importants investissements réalisés pendant la crise sanitaire méritent d’être mises en lumière et justifient le choix de la destination de cette 14e édition », a-t-elle déclaré.