Situation des migrants en Tunisie : Les gouvernements subsahariens réagissent enfin
Bamako, Conakry, Dakar... Les communiqués des gouvernements subsahariens se succèdent Les uns les autres pour appeler leurs ressortissants à la prudence en Tunisie.
Généralement très attachés aux codes et normes diplomatiques, les Pays d’Afrique subsaharienne dont les ressortissants ont été traités comme des envahisseurs et menaçant le caractère « arabo-musulman » de la Tunisie – semblent avoir été libérés par la forte condamnation des propos et des intentions du Président Kaïs Saïed.
Toutes les représentations diplomatiques subsahariennes en Tunisie sont invitées à prendre des mesures pour assurer la sécurité de leurs ressortissants dans le pays. Mieux, des moyens de transports sont de plus en plus envisagés pour organiser le rapatriement de ceux qui le souhaitent.
Même les réactions les plus fortes sont venues globalement des réseaux sociaux et de la Diaspora africaine, les milieux d’affaires ont également ressenti avec violence la sortie du Raïs tunisien et ses conséquences.
Le communiqué des chambres de commerce et d’industrie Ivoiro-tunisienne ou encore Sénégalo-tunisienne tentent de faire retomber la tension. Mais il est clair que le Chef de l’État tunisien vient de porter un coup à la bonne évolution des affaires et les nombreux partenariats fructueux entre la Tunisie et bon nombre de pays subsahariens, notamment dans les domaines des Ntic, du sport, du tourisme et de l’hôtellerie...
Les observateurs scrutent désormais du côté des touristes occidentaux pour qui la Tunisie demeurent une destination de choix. D’aucuns attendent une réaction de ce côté-là, histoire de maintenir le caractère hospitalier de la Tunisie.
Puisque, ni les attentats terroristes notamment de la Ghriba à Djerba le 11 avril 2002 et du musée du Bardo à Tunis le 18 mars 2015 ni la pandémie à coronavirus (Covid-19) n’ont pu détourner les citoyens de diverses parties du monde de la Tunisie.
Toutes les représentations diplomatiques subsahariennes en Tunisie sont invitées à prendre des mesures pour assurer la sécurité de leurs ressortissants dans le pays. Mieux, des moyens de transports sont de plus en plus envisagés pour organiser le rapatriement de ceux qui le souhaitent.
Même les réactions les plus fortes sont venues globalement des réseaux sociaux et de la Diaspora africaine, les milieux d’affaires ont également ressenti avec violence la sortie du Raïs tunisien et ses conséquences.
Le communiqué des chambres de commerce et d’industrie Ivoiro-tunisienne ou encore Sénégalo-tunisienne tentent de faire retomber la tension. Mais il est clair que le Chef de l’État tunisien vient de porter un coup à la bonne évolution des affaires et les nombreux partenariats fructueux entre la Tunisie et bon nombre de pays subsahariens, notamment dans les domaines des Ntic, du sport, du tourisme et de l’hôtellerie...
Les observateurs scrutent désormais du côté des touristes occidentaux pour qui la Tunisie demeurent une destination de choix. D’aucuns attendent une réaction de ce côté-là, histoire de maintenir le caractère hospitalier de la Tunisie.
Puisque, ni les attentats terroristes notamment de la Ghriba à Djerba le 11 avril 2002 et du musée du Bardo à Tunis le 18 mars 2015 ni la pandémie à coronavirus (Covid-19) n’ont pu détourner les citoyens de diverses parties du monde de la Tunisie.