La ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck et les lauréats ivoiriens au Fespaco 2023. (Ph: Dr)
La ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck et les lauréats ivoiriens au Fespaco 2023. (Ph: Dr)
7e art : Françoise Remarck annonce une Côte d’Ivoire conquérante au Fespaco 2025
A Ouagadougou, la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, a pris part à la 28e édition du Festival panafricain de cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) du 25 février au 4 mars 2023.
Pour la 29e édition du Fespaco qui se tiendra du 22 février au 1er mars 2025, Françoise Remarck a déclaré qu’il faut que la Côte d’Ivoire y parte en conquérante avec toutes ses forces.
A l’en croire, il faut que les cinéastes ivoiriens comprennent qu’est-ce que le jury attend. Comment il fonctionne, quels sont les sujets d’attente. C’est ainsi que la Côte d’Ivoire entend s’approcher de l’Etalon du Yennenga, remporter les séries écoles.
Selon la ministre, il va falloir travailler pour remplir toutes les pages techniques pour être présente dans toutes les catégories, au Fespaco 2025.
A cette occasion, elle a reçu à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Burkina Faso, la communauté ivoirienne vivant dans ce pays. Une centaine d’Ivoiriens étaient à cette réception. Les dix jeunes réalisateurs sélectionnés en Côte d’Ivoire pour une immersion au Fespaco y ont pris part également.
Très heureux de cette expérience en terre burkinabè, leur représentant Mohamed Ali a remercié la ministre Françoise Remarck pour son initiative. Avant de lui promettre qu’elle ne sera pas déçue.
A la ministre, il a indiqué qu’ils vont proposer un rapport sur ce qu’ils ont vécu et aussi un projet commun. Toute chose qui vise à souligner que la relève est assurée. Cette action, s’est-il réjoui, concourt à l’année de la jeunesse.
A cette rencontre était présent le représentant d’Alex Ogou qui a remporté le 1er prix de la série télé africaine, avec « Ô batanga ». Il y avait le représentant Charly Kodjo qui a reçu la mention spéciale du jury avec « Ici C Babi » et Zeinab Soumahoro, 2e Prix série école.
Dans son propos, la ministre Françoise Remarck a souligné qu’elle est satisfaite par la moisson. La Côte d’Ivoire terre de tournage de série est aujourd’hui une réalité. C’est aussi un avantage. Au niveau des séries télévisées, le format et la technique sont maîtrisés.
Le son, le décor, le synopsis, etc., la première responsable du département de la Culture et de la Francophonie a affirmé qu’elle se satisfait de tout cela. Pour 11 structures nominées, il y en avait quatre voire cinq de la Côte d’Ivoire.
Pour la ministre, cela est important et signifie que la Côte d’Ivoire est bien placée dans ce format. En revanche, Mme Françoise Remarck a fait savoir que nos faiblesses viennent des films long métrage fiction. « On en a plus d’envergure après le cinéaste Roger Gnoan M’Bala », a fait remarquer la ministre.
La pose de la première pierre de la statue du 2e cinéaste ivoirien à avoir remporté l’Etalon d’or du Yennenga, il y a 30 ans, été l’occasion pour la ministre en charge de la Culture d’attirer l’attention des jeunes cinéastes.
Pour la ministre, il va falloir faire l’état des lieux, discuter avec les différentes faitières et surtout comment préparer le Fespaco 2025.
A l’en croire, il faut que les cinéastes ivoiriens comprennent qu’est-ce que le jury attend. Comment il fonctionne, quels sont les sujets d’attente. C’est ainsi que la Côte d’Ivoire entend s’approcher de l’Etalon du Yennenga, remporter les séries écoles.
Selon la ministre, il va falloir travailler pour remplir toutes les pages techniques pour être présente dans toutes les catégories, au Fespaco 2025.
A cette occasion, elle a reçu à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Burkina Faso, la communauté ivoirienne vivant dans ce pays. Une centaine d’Ivoiriens étaient à cette réception. Les dix jeunes réalisateurs sélectionnés en Côte d’Ivoire pour une immersion au Fespaco y ont pris part également.
Très heureux de cette expérience en terre burkinabè, leur représentant Mohamed Ali a remercié la ministre Françoise Remarck pour son initiative. Avant de lui promettre qu’elle ne sera pas déçue.
A la ministre, il a indiqué qu’ils vont proposer un rapport sur ce qu’ils ont vécu et aussi un projet commun. Toute chose qui vise à souligner que la relève est assurée. Cette action, s’est-il réjoui, concourt à l’année de la jeunesse.
A cette rencontre était présent le représentant d’Alex Ogou qui a remporté le 1er prix de la série télé africaine, avec « Ô batanga ». Il y avait le représentant Charly Kodjo qui a reçu la mention spéciale du jury avec « Ici C Babi » et Zeinab Soumahoro, 2e Prix série école.
Dans son propos, la ministre Françoise Remarck a souligné qu’elle est satisfaite par la moisson. La Côte d’Ivoire terre de tournage de série est aujourd’hui une réalité. C’est aussi un avantage. Au niveau des séries télévisées, le format et la technique sont maîtrisés.
Le son, le décor, le synopsis, etc., la première responsable du département de la Culture et de la Francophonie a affirmé qu’elle se satisfait de tout cela. Pour 11 structures nominées, il y en avait quatre voire cinq de la Côte d’Ivoire.
Pour la ministre, cela est important et signifie que la Côte d’Ivoire est bien placée dans ce format. En revanche, Mme Françoise Remarck a fait savoir que nos faiblesses viennent des films long métrage fiction. « On en a plus d’envergure après le cinéaste Roger Gnoan M’Bala », a fait remarquer la ministre.
La pose de la première pierre de la statue du 2e cinéaste ivoirien à avoir remporté l’Etalon d’or du Yennenga, il y a 30 ans, été l’occasion pour la ministre en charge de la Culture d’attirer l’attention des jeunes cinéastes.
Pour la ministre, il va falloir faire l’état des lieux, discuter avec les différentes faitières et surtout comment préparer le Fespaco 2025.