Recherche scientifique/L’Eai Africomm 2024 : Un colloque international se tient du 27 au 29 novembre à Abidjan
Eai Africomm est un rendez-vous international annuel sur les enjeux et les défis liés aux infrastructures, aux systèmes et services de l'internet en Afrique.
L’Université virtuelle de Côte d’Ivoire (Uvci) et le « European alliance for innovation (Eai) », en collaboration avec le Programme thématique de recherche du Cames sur les Technologies de l’information et de la communication (Ptr-Tic), le Réseau des enseignants-chercheurs et chercheurs en informatique du Faso (Recif) et la délégation permanente de la Côte d’Ivoire auprès de l’Unesco à Paris ont organisé l’édition 2024 de l’Eai Africomm. Elle se tient du 27 au 29 novembre 2024, à Abidjan.
Cet événement vise à rassembler des décideurs politiques, des universitaires et des professionnels de l'industrie pour discuter des problématiques et des évolutions récentes, des politiques et des réglementations, et des retours d'expérience dans les domaines des infrastructures, systèmes et services internet et de l’intelligence géospatiale.
En effet, l'évolution récente des infrastructures Tic, de l'internet et des systèmes d'observation de la terre offre de grandes possibilités d'amélioration des services numériques dans la gestion des entreprises, l’appui à l'aménagement du territoire et la gestion efficace des ressources naturelles.
Des conférences d’experts de renommée internationale, des sessions de communication et des ateliers de formation et de renforcement de capacités vont meubler l’édition d’Abidjan. Ces différents thèmes seront évoqués : "Les infrastructures et systèmes Tic" ; "Les services internet et technologies émergentes" ; "La télédétection et systèmes d'information géographique".
A l’ouverture, Djimbala Diakité, directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche scientifique, représentant le ministre Adama Diawara, a indiqué que Africomm est une plateforme incontournable pour mettre en lumière les solutions technologiques adaptées aux réalités africaines.
Il a invité les participants à orienter les discussions autour des solutions concrètes et durables : « l’Afrique a l’opportunité de tirer parti de cette révolution numérique pour relever les défis majeurs de notre époque : la réduction de la pauvreté, l’amélioration de l’accès à une éducation de qualité, la modernisation de nos systèmes de santé et la lutte contre le changement climatique. La Côte d’Ivoire a fait de la transformation numérique une priorité nationale ».
Mais avant, le Professeur Koné Tiémoman, président de l’Université virtuelle de Côte d'Ivoire, a souligné que pour la formation à distance les besoins sont de plus en plus grands : « Il nous faut des infrastructures qui montent en puissance pour délivrer des services de qualité. En Côte d’Ivoire, l’émergence est au rendez-vous avec le développement de l’économie numérique. Au niveau de l’Etat, les instruments sont déjà en place pour soutenir la politique du numérique qui est une science qui évolue très vite ».
Quant au Professeur Kouamé Fernand, vice-président de l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire, par ailleurs président du comité d’organisation, il a déployé le programme des trois jours de communication.
Il faut le rappeler, la première édition s’est tenue en 2009 à Maputo au Mozambique.
Cet événement vise à rassembler des décideurs politiques, des universitaires et des professionnels de l'industrie pour discuter des problématiques et des évolutions récentes, des politiques et des réglementations, et des retours d'expérience dans les domaines des infrastructures, systèmes et services internet et de l’intelligence géospatiale.
En effet, l'évolution récente des infrastructures Tic, de l'internet et des systèmes d'observation de la terre offre de grandes possibilités d'amélioration des services numériques dans la gestion des entreprises, l’appui à l'aménagement du territoire et la gestion efficace des ressources naturelles.
Des conférences d’experts de renommée internationale, des sessions de communication et des ateliers de formation et de renforcement de capacités vont meubler l’édition d’Abidjan. Ces différents thèmes seront évoqués : "Les infrastructures et systèmes Tic" ; "Les services internet et technologies émergentes" ; "La télédétection et systèmes d'information géographique".
A l’ouverture, Djimbala Diakité, directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche scientifique, représentant le ministre Adama Diawara, a indiqué que Africomm est une plateforme incontournable pour mettre en lumière les solutions technologiques adaptées aux réalités africaines.
Il a invité les participants à orienter les discussions autour des solutions concrètes et durables : « l’Afrique a l’opportunité de tirer parti de cette révolution numérique pour relever les défis majeurs de notre époque : la réduction de la pauvreté, l’amélioration de l’accès à une éducation de qualité, la modernisation de nos systèmes de santé et la lutte contre le changement climatique. La Côte d’Ivoire a fait de la transformation numérique une priorité nationale ».
Mais avant, le Professeur Koné Tiémoman, président de l’Université virtuelle de Côte d'Ivoire, a souligné que pour la formation à distance les besoins sont de plus en plus grands : « Il nous faut des infrastructures qui montent en puissance pour délivrer des services de qualité. En Côte d’Ivoire, l’émergence est au rendez-vous avec le développement de l’économie numérique. Au niveau de l’Etat, les instruments sont déjà en place pour soutenir la politique du numérique qui est une science qui évolue très vite ».
Quant au Professeur Kouamé Fernand, vice-président de l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire, par ailleurs président du comité d’organisation, il a déployé le programme des trois jours de communication.
Il faut le rappeler, la première édition s’est tenue en 2009 à Maputo au Mozambique.