Permis à points, vidéo-verbalisation: Les professionnels de la sécurité électronique proposent leurs solutions pour éviter les sanctions
En effet, des réformes comme la vidéo-verbalisation et le permis à points qui sont très contraignantes ont été introduites par le ministère des Transports en vue de lutter contre l’incivisme et les accidents de la route. Ces réformes sont assorties de sanctions parfois lourdes pour les contrevenants aux nouvelles règles.
Prévenir plutôt qu’avoir les amendes
« Qui conduisait ? Comment ? Est-ce qu’il est fautif ? A quelle vitesse roulait-il ?, etc. Tous ces comportements de son personnel doivent être analysés. Nos membres proposent les solutions les plus abouties pour contrôler ses conducteurs, leur comportement, la sécurité, l’entretien et le suivi des véhicules. Les entreprises doivent tenir compte des réformes, faire en sorte que leurs conducteurs gardent les points du permis, qu’elles ne soient pas appelées à payer des amendes. Quand le conducteur sait qu’il est surveillé, il ne peut pas se permettre de faire n’importe quoi », a expliqué Christian Lejosne, directeur général de Global protect et président du Gipse.
Et d’ajouter : « à mon avis, les solutions de surveillance et de sécurité des véhicules viennent compléter et fortifier ce qui est mis en règlementation par le gouvernement. L’idée c’est de prévenir plutôt que de payer les amendes. Je pense que nous sommes complémentaires. »
Le panel autour du thème du café-débat susmentionné a été animé par deux experts du Gipse. Ils ont expliqué comment le fait de contrôler son parc automobile par des systèmes fiables et modernes peut faire économiser de l’argent à l’entreprise.
« Un parc qui est contrôlé et surveillé est bénéfique en termes de gain pécuniaire à l’entreprise sur le long terme. Même une solution plus coûteuse, si elle est bien exploitée, permet d’économiser énormément en coût d’entretien et de fonctionnalité et cela garantit une bonne sécurité personnelle du conducteur », a expliqué Pio Nazar, l’un des panélistes.
Créé en 2016, le Gipse, selon son président Christian Lejosne, fédère plusieurs entreprises de sécurité électronique légalement constituées, « qui font un travail correct, éthique, avec du matériel conforme à la règlementation sur la protection des données à caractère personnel ».