Santé sexuelle reproductive, leadership, autonomisation : 1500 jeunes filles bientôt formées en Côte d’Ivoire
Plusieurs jeunes adolescentes (1500) vont bénéficier d’un programme de renforcement des capacités et de leadership dans le cadre du projet « Voix des Adolescentes » initié par Unicef Côte d’Ivoire et mis en œuvre par Social Change Factory, en collaboration avec l’Ong Pro-Kids Côte d’Ivoire avec l’appui technique du ministère de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique.
Après la phase pilote, l’étape d’extension a été lancée le mardi 26 novembre 2024 en présence de nombreux acteurs et parties prenantes, au siège de l’Unicef à Abidjan-Riviera Golf.
Pour le chef du projet, Emmanuel Silué, « Voix des adolescentes » vise à renforcer le leadership et la participation des filles et adolescentes en Côte d’Ivoire. Après la consultation à Touba, Ferké, et Man, il s’agit de renforcer les compétences des filles bénéficiaires dans les trois villes, sur les notions de santé sexuelles reproductives, leadership, de confiance en soi, des activités génératrice de revenus et bien d’autres thématiques utiles à leur développement. Une chose est de savoir de ces notions mais aussi une chose est de les pratiquer. De ce fait, les bénéficiaires sont engagées dans la conception et la mise en œuvre d’initiatives citoyennes au sein de leurs communautés respectives.
A Touba par exemple, les filles peuvent contribuer à la scolarisation de leurs camarades en les aidant à savoir lire et écrire. En claire, les filles définissent selon leurs localités des initiatives qu’elles peuvent implémenter sur le terrain.
La cheffe de la Section adolescents et jeune de l’Unicef Côte d’Ivoire, Juliette Nsensele Faida, a réaffirmé « l’engagement » de son organisation à travailler main dans la main avec le gouvernement ivoirien, les communautés, et les partenaires à l’effet de garantir que chaque adolescente ait non seulement une voix, mais aussi un véritable pouvoir d’action.
« Je lance un appel à toutes les parties prenantes à soutenir ce programme, à se l’approprier, et à œuvrer ensemble pour garantir sa pérennité. Chaque contribution, aussi petite soit-elle, compte pour construire un environnement plus inclusif, plus juste et plus équitable pour les jeunes filles », a déclaré Juliette Nsensele Faida.
Il est bon de rappeler que ce programme salué par les ministères de la Promotion de la jeunesse, de l’Education nationale, de la Femme, Famille et de l’Enfant, est prévu pour être mis en œuvre sur une période de six mois.
Pour le chef du projet, Emmanuel Silué, « Voix des adolescentes » vise à renforcer le leadership et la participation des filles et adolescentes en Côte d’Ivoire. Après la consultation à Touba, Ferké, et Man, il s’agit de renforcer les compétences des filles bénéficiaires dans les trois villes, sur les notions de santé sexuelles reproductives, leadership, de confiance en soi, des activités génératrice de revenus et bien d’autres thématiques utiles à leur développement. Une chose est de savoir de ces notions mais aussi une chose est de les pratiquer. De ce fait, les bénéficiaires sont engagées dans la conception et la mise en œuvre d’initiatives citoyennes au sein de leurs communautés respectives.
A Touba par exemple, les filles peuvent contribuer à la scolarisation de leurs camarades en les aidant à savoir lire et écrire. En claire, les filles définissent selon leurs localités des initiatives qu’elles peuvent implémenter sur le terrain.
La cheffe de la Section adolescents et jeune de l’Unicef Côte d’Ivoire, Juliette Nsensele Faida, a réaffirmé « l’engagement » de son organisation à travailler main dans la main avec le gouvernement ivoirien, les communautés, et les partenaires à l’effet de garantir que chaque adolescente ait non seulement une voix, mais aussi un véritable pouvoir d’action.
« Je lance un appel à toutes les parties prenantes à soutenir ce programme, à se l’approprier, et à œuvrer ensemble pour garantir sa pérennité. Chaque contribution, aussi petite soit-elle, compte pour construire un environnement plus inclusif, plus juste et plus équitable pour les jeunes filles », a déclaré Juliette Nsensele Faida.
Il est bon de rappeler que ce programme salué par les ministères de la Promotion de la jeunesse, de l’Education nationale, de la Femme, Famille et de l’Enfant, est prévu pour être mis en œuvre sur une période de six mois.