Des journaux ivoiriens. (Ph: Dr)
La case des mots : Le stress de la presse !
Il presse qu’on s’intéresse à la presse. La presse n’a de cesse de faire des familles de princesses, d’altesses, de comtesses et autres duchesses. Ces princesses, altesses, comtesses et duchesses, une fois ayant fait florès, s’empressent d’être en délicatesse avec la presse.
La gentillesse de ces altesses et autres comtesses s’arrêtent là où la grand-messe des Unes de la presse les intéresse. La presse dresse ainsi le lit de biens de noblesses, voire de superforteresses, mais vit parfois dans une espèce de détresse.
Il presse qu’on reconnaisse à la presse sa part de prouesse, ne serait-ce parce qu’elle permet que la société progresse sans cesse. Il presse qu’on voit, avec justesse, comment trouver une espèce de contrepartie express qui soit enchanteresse pour nos hommes de presse, surtout que le business de la presse, lui, régresse sans cesse.
Aînesse des libertés et soldatesse de la justice, la presse sort sans cesse les citoyens du stress, sans être elle-même à l’abri du stress.
Il presse qu’on reconnaisse à la presse sa part de prouesse, ne serait-ce parce qu’elle permet que la société progresse sans cesse. Il presse qu’on voit, avec justesse, comment trouver une espèce de contrepartie express qui soit enchanteresse pour nos hommes de presse, surtout que le business de la presse, lui, régresse sans cesse.
Aînesse des libertés et soldatesse de la justice, la presse sort sans cesse les citoyens du stress, sans être elle-même à l’abri du stress.