Sportivement : La leçon de patriotisme du ministre
Décidément, ces Comoriens affectionnent les polémiques. Après la Can au Cameroun où ils ont créé de nombreuses polémiques, ils ont tenté un autre coup de pub autour de la rencontre de Bouaké.
Dans la foulée de la défaite que les Éléphants ont infligée aux Cœlacanthes (3-1), vendredi dernier, au Stade de la Paix de Bouaké, ils ont fabriqué une autre affaire sur la mauvaise condition d’hébergement des joueurs comoriens. Sur la base de propos non vérifiés d’un pseudo-supporter, ils ont voulu discréditer un État sérieux comme la Côte d’Ivoire.
Heureusement, le ministre des Sports, Paulin Claude Danho veillait au grain. Il a coupé court à la rumeur. Et avec la manière. Dans un long communiqué, l’homme fort d’Attécoubé a donné une leçon de patriotisme à ses compatriotes. A tous ceux qui sont perpétuellement à la recherche de sensations fortes, ceux qui ne savent pas que l’on ne doit pas « montrer la route de son village avec la main gauche ».
Le ministère des Sports, en dégageant toute responsabilité, a fait des précisions. « Si cette dénonciation émane d’une publication sur la page Facebook d’un Comorien, force est de noter avec déception qu’une certaine presse ivoirienne mal inspirée s’est donné pour mission d’en faire l’écho, dans la visible intention de nuire à l’image du ministre des Sports, de celle du gouvernement et à la titanesque œuvre de construction engagée », ont fait savoir les services du ministre Danho Paulin.
En effet, les dispositions de la Caf, propriétaire de la compétition, sont claires. Chaque délégation en compétition est responsable de l’hébergement de ses membres dans le pays hôte. C’est pourquoi, la Caf exige du pays d’accueil qu’il communique le lieu où va se jouer le match deux mois avant l’échéance. Cela pour permettre au visiteur de venir prendre ses repères et sélectionner son lieu d’hébergement. Ce n’est ni la Côte d’Ivoire, ni la Fédération, encore moins la Caf qui devait s’occuper de l’hébergement des Comoriens.
L’équipe des Comores n’a pas jugé utile de venir tôt à Bouaké pour choisir le lieu où elle va rester. Un point, un trait. Faire croire le contraire à l’opinion n’est que pure manipulation de l’information. En soulevant une telle polémique, à neuf mois de la grande fête de la jeunesse qui aura lieu dans le pays, les auteurs veulent discréditer la Côte d’Ivoire qui ne cesse de consentir d’énormes sacrifices pour procurer du bonheur à la jeunesse du continent. Ce qui est incompréhensible, même si c’était le cas, revenait-il à des Ivoiriens d’en faire un large écho à travers le monde ?
D’où la colère de Paulin Danho, qui n’a pas compris que des médias en ligne, de surcroît ivoiriens, soient devenus les relais de cette intoxication contre leur pays. On en veut tellement à la direction actuelle de la Fédération ivoirienne de football (Fif) qu’on est devenu fou, prêt à saboter toutes les actions de la faîtière. Y compris la Can 2023, pour dire plus tard : si tel avait été là, cela aurait été... Mais où est passé notre patriotisme ? Pour la dernière fois, oublions nos ressentiments. Les élections à la Fif sont passées.
Heureusement, le ministre des Sports, Paulin Claude Danho veillait au grain. Il a coupé court à la rumeur. Et avec la manière. Dans un long communiqué, l’homme fort d’Attécoubé a donné une leçon de patriotisme à ses compatriotes. A tous ceux qui sont perpétuellement à la recherche de sensations fortes, ceux qui ne savent pas que l’on ne doit pas « montrer la route de son village avec la main gauche ».
Le ministère des Sports, en dégageant toute responsabilité, a fait des précisions. « Si cette dénonciation émane d’une publication sur la page Facebook d’un Comorien, force est de noter avec déception qu’une certaine presse ivoirienne mal inspirée s’est donné pour mission d’en faire l’écho, dans la visible intention de nuire à l’image du ministre des Sports, de celle du gouvernement et à la titanesque œuvre de construction engagée », ont fait savoir les services du ministre Danho Paulin.
En effet, les dispositions de la Caf, propriétaire de la compétition, sont claires. Chaque délégation en compétition est responsable de l’hébergement de ses membres dans le pays hôte. C’est pourquoi, la Caf exige du pays d’accueil qu’il communique le lieu où va se jouer le match deux mois avant l’échéance. Cela pour permettre au visiteur de venir prendre ses repères et sélectionner son lieu d’hébergement. Ce n’est ni la Côte d’Ivoire, ni la Fédération, encore moins la Caf qui devait s’occuper de l’hébergement des Comoriens.
L’équipe des Comores n’a pas jugé utile de venir tôt à Bouaké pour choisir le lieu où elle va rester. Un point, un trait. Faire croire le contraire à l’opinion n’est que pure manipulation de l’information. En soulevant une telle polémique, à neuf mois de la grande fête de la jeunesse qui aura lieu dans le pays, les auteurs veulent discréditer la Côte d’Ivoire qui ne cesse de consentir d’énormes sacrifices pour procurer du bonheur à la jeunesse du continent. Ce qui est incompréhensible, même si c’était le cas, revenait-il à des Ivoiriens d’en faire un large écho à travers le monde ?
D’où la colère de Paulin Danho, qui n’a pas compris que des médias en ligne, de surcroît ivoiriens, soient devenus les relais de cette intoxication contre leur pays. On en veut tellement à la direction actuelle de la Fédération ivoirienne de football (Fif) qu’on est devenu fou, prêt à saboter toutes les actions de la faîtière. Y compris la Can 2023, pour dire plus tard : si tel avait été là, cela aurait été... Mais où est passé notre patriotisme ? Pour la dernière fois, oublions nos ressentiments. Les élections à la Fif sont passées.