Inp-HB/École doctorale polytechnique (Edp): L'économie circulaire, un défi à relever pour le développement durable
La 10e édition des doctorales de l'École doctorale polytechnique (Epd) de l'Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (Inp-HB) de Yamoussoukro a lieu, du 18 au 20 novembre, à l'amphi C du site Nord. Cette année, les réflexions étaient placées sous le thème : "Recherche, innovation et économie circulaire : quelles synergie pour l'atteinte des Objectifs du développement durable (Odd) ?".
Les doctorales sont des manifestations organisées par les doctorants pour se familiariser à l'organisation de manifestations scientifiques, échanger avec d'autres étudiants, enseignants chercheurs et chercheurs, sur leurs travaux et expériences, de sorte à s'ouvrir sur l'extérieur.
Pour le professeur Loum Georges, directeur général adjoint en charge de la pédagogie, qui a ouvert les travaux, la recherche dans un établissement d'enseignement supérieur est fondamentale. Elle permet d'appuyer les activités pédagogiques, de renforcer les capacités de ses acteurs et surtout de soutenir le développement économique.
Cette recherche, a-t-il souligné, doit aboutir à une plus grande vulgarisation de l'innovation technologique afin de répondre aux besoins des entreprises et aux aspirations des populations. Aux doctorants, il a rappelé que ces doctorales doivent être l'occasion de présenter leurs projets de recherche et d'établir des collaborations et partenariats. En outre, elles doivent également permettre d'envisager un passage de la thèse à l'innovation, dans un contexte d'économie circulaire.
Quant au professeur Soro Yaya, directeur de l'École doctorale polytechnique sciences agronomiques et procédés de transformation, porte-parole des deux écoles doctorales de l'Inp-HB, il a relevé que la Côte d'Ivoire, à l'instar de nombreux pays en développement, fait face à des défis significatifs en matière de gestion des ressources naturelles, de pollution et d'inégalités. Dans un tel contexte, l'économie circulaire, qui se démarque du modèle linéaire.
"Extraire, produire, consommer, jeter", apparaît comme une alternative idéale à promouvoir. D'autant qu'elle prolonge la durée de vie des produits, réduit les déchets et permet de réutiliser les matières premières de manière durable.
Souleymane Traoré, directeur du capital humain à la Banque nationale d'investissement (Bni), représentant le parrain de cette 10e édition, s'est félicité du choix du thème. « Ma conviction profonde est que la recherche doctorale est le pilier de l'innovation et du progrès. Elle permet de repousser les frontières de notre compréhension et de trouver des solutions aux défis contemporains », a-t-il fait remarquer.
Pour le professeur Loum Georges, directeur général adjoint en charge de la pédagogie, qui a ouvert les travaux, la recherche dans un établissement d'enseignement supérieur est fondamentale. Elle permet d'appuyer les activités pédagogiques, de renforcer les capacités de ses acteurs et surtout de soutenir le développement économique.
Cette recherche, a-t-il souligné, doit aboutir à une plus grande vulgarisation de l'innovation technologique afin de répondre aux besoins des entreprises et aux aspirations des populations. Aux doctorants, il a rappelé que ces doctorales doivent être l'occasion de présenter leurs projets de recherche et d'établir des collaborations et partenariats. En outre, elles doivent également permettre d'envisager un passage de la thèse à l'innovation, dans un contexte d'économie circulaire.
Quant au professeur Soro Yaya, directeur de l'École doctorale polytechnique sciences agronomiques et procédés de transformation, porte-parole des deux écoles doctorales de l'Inp-HB, il a relevé que la Côte d'Ivoire, à l'instar de nombreux pays en développement, fait face à des défis significatifs en matière de gestion des ressources naturelles, de pollution et d'inégalités. Dans un tel contexte, l'économie circulaire, qui se démarque du modèle linéaire.
"Extraire, produire, consommer, jeter", apparaît comme une alternative idéale à promouvoir. D'autant qu'elle prolonge la durée de vie des produits, réduit les déchets et permet de réutiliser les matières premières de manière durable.
Souleymane Traoré, directeur du capital humain à la Banque nationale d'investissement (Bni), représentant le parrain de cette 10e édition, s'est félicité du choix du thème. « Ma conviction profonde est que la recherche doctorale est le pilier de l'innovation et du progrès. Elle permet de repousser les frontières de notre compréhension et de trouver des solutions aux défis contemporains », a-t-il fait remarquer.
N'DRI CÉLESTIN