Hommage à Valérie Oka/Françoise Remarck : ‘‘Elle a cru avant tout le monde aux Industries culturelles et créatives’’
Une cérémonie d’hommage en mémoire de l’artiste designer a été organisée le 19 avril, au Palais de la culture, à Treichville.
Valérie nous laisse un lourd héritage. Elle fait partie de cette poignée de visionnaires qui ont cru, avant tout le monde, aux Industries culturelles et créatives (Icc)». C’est le commentaire ému de Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie en mémoire de feue Valérie Oka. C’était lors de la cérémonie d’hommage à l’artiste qui a eu lieu, le 19 avril, au Palais de la culture, à Treichville.
La ministre a regretté la brutale disparition, le 8 avril, de l’artiste designer, conseillère culturelle auprès du Premier ministre et experte des questions des Icc. Elle a rappelé les relations privilégiées d’amitié et de fraternité qui la liait à cette grande figure de la culture en Côte d’Ivoire.
Selon Françoise Remarck, ce départ est d’autant plus douloureux que Valérie Oka était enfin parvenue, par la force du travail, à un poste de responsabilité qui lui permettait d’insuffler sa vision et son dynamisme dans le secteur des arts et de la culture en Côte d’Ivoire.
« Elle nous quitte alors qu’elle avait enfin trouvé, grâce à la confiance du Premier ministre Patrick Achi, une place idéale en vue de nous faire profiter de son expertise et de son savoir-faire en matière d’Industries culturelles et créatives... Je sais qu’elle était heureuse aussi de voir que la Can 2023 qui va avoir lieu au début de l’année prochaine dans notre pays aura un aspect culturel. Elle l’avait souhaité, elle l’avait voulu », s’est-elle rappelé.
Artiste dans l’âme, Valérie Oka a été célébrée comme elle l’aurait souhaité par une chorégraphie qui a entremêlé diverses formes d’arts. Du slam, à la danse en passant par la poésie, la scène de la salle Kodjo Ébouclé a proposé un spectacle digne de l’artiste engagée et passionnée qu’elle fut.
La chorégraphie mise en œuvre par les étudiants de l’Insaac portait la signature de Bacome Niamba, chorégraphe et enseignante à l'Insaac, amie de Valérie Oka. Outre la série de témoignages des amis et proches de la défunte, l’un des moments marquant de cette émouvante cérémonie a été la réception par Françoise Remarck d’une toile peinte séance tenante, à l’effigie de la regrettée artiste.
Selon Françoise Remarck, ce départ est d’autant plus douloureux que Valérie Oka était enfin parvenue, par la force du travail, à un poste de responsabilité qui lui permettait d’insuffler sa vision et son dynamisme dans le secteur des arts et de la culture en Côte d’Ivoire.
« Elle nous quitte alors qu’elle avait enfin trouvé, grâce à la confiance du Premier ministre Patrick Achi, une place idéale en vue de nous faire profiter de son expertise et de son savoir-faire en matière d’Industries culturelles et créatives... Je sais qu’elle était heureuse aussi de voir que la Can 2023 qui va avoir lieu au début de l’année prochaine dans notre pays aura un aspect culturel. Elle l’avait souhaité, elle l’avait voulu », s’est-elle rappelé.
Artiste dans l’âme, Valérie Oka a été célébrée comme elle l’aurait souhaité par une chorégraphie qui a entremêlé diverses formes d’arts. Du slam, à la danse en passant par la poésie, la scène de la salle Kodjo Ébouclé a proposé un spectacle digne de l’artiste engagée et passionnée qu’elle fut.
La chorégraphie mise en œuvre par les étudiants de l’Insaac portait la signature de Bacome Niamba, chorégraphe et enseignante à l'Insaac, amie de Valérie Oka. Outre la série de témoignages des amis et proches de la défunte, l’un des moments marquant de cette émouvante cérémonie a été la réception par Françoise Remarck d’une toile peinte séance tenante, à l’effigie de la regrettée artiste.