Transformation du secteur riz : Un observatoire national pour booster la production
Créer un cadre permanent de coordination des interventions des acteurs majeurs de la filière riz en Côte d’Ivoire pour la transformation structurelle du secteur, est le but principal de l’observatoire national du riz qui a vu le jour le mardi 9 mai 2023, à l’hôtel Rose Blanche sis à Angré.
C'était à l’issue d’une assemblée générale constitutive qui a réuni, entre autres, des producteurs de riz, transformateurs, distributeurs, importateurs, firmes semencières, Petites et moyennes entreprises de mécanisation agricole.
L’observatoire né de la volonté de la Cedeao pour résorber la question du riz dans la sous-région, vise principalement à créer un cadre de concertation entre les acteurs; renforcer des Partenariats public-privé ; coordonner les investissements du gouvernement, du secteur privé, et des partenaires techniques et financiers dans les solutions axées sur le marché pour soutenir la stratégie nationale de développement de la riziculture; conduire la transformation du secteur rizicole ; faciliter l’accès au financement tout le long de la chaîne de valeur.
Porté à la tête de l’observatoire pour un mandat de deux ans renouvelable, Diabaté Mory, président de l’Oiariz, a indiqué qu’il s’agit de faire en sorte que dans les cinq années à venir, la tendance soit renversée et que la Côte d’Ivoire soit souveraine en riziculture. « La nécessité de l’Observatoire qui a été suscité par la Cedeao, est de lutter afin que nos taux d’importation très élevés soient acceptables. Il était bon qu’ensemble, nous puissions mettre nos actions conjuguées pour développer la riziculture dans la zone Cedeao », a-t-il expliqué.
Et d’ajouter que l’observatoire va aider à produire au maximum pour atteindre la souveraineté alimentaire dans la zone Cedeao.
« Nous allons faire en sorte que dans notre programme, l’Afrique de l’Ouest puisse vendre du riz à l’extérieur et qu’on parle du riz de l’Afrique de l’Ouest, du riz de la Côte d’Ivoire. Nous avons les hommes, l’expérience, les terres, les moyens. Nous pouvons y arriver, mais ensemble», a assuré le président de l’observatoire.
Kassou Karamoko, directeur général de la promotion de la riziculture au ministère d’Etat, ministère de l’agriculture et du développement rural, quant à lui, a exprimé sa joie. « Heureux de voir toutes les parties prenantes réunies et très engagées pour la cause de la filière riz en Côte d’Ivoire. Nous allons œuvrer en termes de stratégie pour que tout ce qui est financement, appuis techniques, soient dans le même panier pour éviter le doublon », a-t-il indiqué.
Et de souligner qu’en Côte d’Ivoire en matière de production de riz, il y a un déficit. « Nous importons presque la moitié de la consommation nationale cumulée autour de 1,5 million. Chose que nous voulons résorber parce que l’Etat est engagé à aller à l’autosuffisance à l’horizon 2025 », a-t-il dévoilé.
L’observatoire né de la volonté de la Cedeao pour résorber la question du riz dans la sous-région, vise principalement à créer un cadre de concertation entre les acteurs; renforcer des Partenariats public-privé ; coordonner les investissements du gouvernement, du secteur privé, et des partenaires techniques et financiers dans les solutions axées sur le marché pour soutenir la stratégie nationale de développement de la riziculture; conduire la transformation du secteur rizicole ; faciliter l’accès au financement tout le long de la chaîne de valeur.
Porté à la tête de l’observatoire pour un mandat de deux ans renouvelable, Diabaté Mory, président de l’Oiariz, a indiqué qu’il s’agit de faire en sorte que dans les cinq années à venir, la tendance soit renversée et que la Côte d’Ivoire soit souveraine en riziculture. « La nécessité de l’Observatoire qui a été suscité par la Cedeao, est de lutter afin que nos taux d’importation très élevés soient acceptables. Il était bon qu’ensemble, nous puissions mettre nos actions conjuguées pour développer la riziculture dans la zone Cedeao », a-t-il expliqué.
Et d’ajouter que l’observatoire va aider à produire au maximum pour atteindre la souveraineté alimentaire dans la zone Cedeao.
« Nous allons faire en sorte que dans notre programme, l’Afrique de l’Ouest puisse vendre du riz à l’extérieur et qu’on parle du riz de l’Afrique de l’Ouest, du riz de la Côte d’Ivoire. Nous avons les hommes, l’expérience, les terres, les moyens. Nous pouvons y arriver, mais ensemble», a assuré le président de l’observatoire.
Kassou Karamoko, directeur général de la promotion de la riziculture au ministère d’Etat, ministère de l’agriculture et du développement rural, quant à lui, a exprimé sa joie. « Heureux de voir toutes les parties prenantes réunies et très engagées pour la cause de la filière riz en Côte d’Ivoire. Nous allons œuvrer en termes de stratégie pour que tout ce qui est financement, appuis techniques, soient dans le même panier pour éviter le doublon », a-t-il indiqué.
Et de souligner qu’en Côte d’Ivoire en matière de production de riz, il y a un déficit. « Nous importons presque la moitié de la consommation nationale cumulée autour de 1,5 million. Chose que nous voulons résorber parce que l’Etat est engagé à aller à l’autosuffisance à l’horizon 2025 », a-t-il dévoilé.