Réseau des instances africaines de régulation de la communication: L’Ivoirien Me Réné Bourgoin, nouveau président
Elu à la vice-présidence du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (Riarc) en septembre 2022, à Marrakech, Me René Bourgoin, président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca) de Côte d’Ivoire, a officiellement accédé à la présidence du Riarc le 29 novembre 2024, pour un mandat de deux ans.
Il remplace à ce poste Latifa Akharbach, présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca) du Maroc et présidente sortante du Riarc.
La cérémonie de passation des charges entre la présidente Latifa Akharbach et le nouveau président du Riarc, Me René Bourgouin, s’est déroulée en présence des présidents et chefs de délégation des instances de régulation des 27 pays participants à la 11e Conférence des instances de régulation de la communication d’Afrique (Circaf) organisée par la Haca de Côte d’Ivoire les 28, 29 et 30 novembre 2024, à Abidjan.
Cette importante conférence statutaire a également vu l’élection de M. Abdoulaye Doningar Abderamane Barka, président de la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (Hama) de Tchad au poste de vice-président pour le biennium 2024-2026.
Deux actes majeurs ont été adoptés au cours de cette 11e Circaf, à savoir : les Principes du Riarc en vue d’un cadre réglementaire pour la régulation de l’Intelligence artificielle dans le secteur de la Communication audiovisuelle et numérique en Afrique ; et la Déclaration du Riarc sur la régulation de l’Intelligence Artificielle (IA) dans le secteur de la Communication audiovisuelle et numérique en Afrique.
Pour rappel, créé en 1998 à Libreville au Gabon et régi par la Convention du 17 décembre 2011 adoptée à Arusha, modifiant la Convention du 27 septembre 2002 de Johannesburg, modifiant celle du 5 juin 1998 portant création du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication, le RIARC constitue le cadre multilatéral de coopération et de concertation entre les instances de régulation de la communication du continent africain et contribue à asseoir l’autorité technique, professionnelle et institutionnelle de ses 37 instances membres issues des pays africains francophones, anglophones, lusophones et arabophones.
L’objectif premier du Réseau est de renforcer la contribution des régulateurs des médias à la consécration d’un paysage audiovisuel africain pluraliste, promoteur de la diversité des sociétés africaines, respectueux des principes des droits humains et vecteur des valeurs démocratiques et humanistes.
La cérémonie de passation des charges entre la présidente Latifa Akharbach et le nouveau président du Riarc, Me René Bourgouin, s’est déroulée en présence des présidents et chefs de délégation des instances de régulation des 27 pays participants à la 11e Conférence des instances de régulation de la communication d’Afrique (Circaf) organisée par la Haca de Côte d’Ivoire les 28, 29 et 30 novembre 2024, à Abidjan.
Cette importante conférence statutaire a également vu l’élection de M. Abdoulaye Doningar Abderamane Barka, président de la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (Hama) de Tchad au poste de vice-président pour le biennium 2024-2026.
Deux actes majeurs ont été adoptés au cours de cette 11e Circaf, à savoir : les Principes du Riarc en vue d’un cadre réglementaire pour la régulation de l’Intelligence artificielle dans le secteur de la Communication audiovisuelle et numérique en Afrique ; et la Déclaration du Riarc sur la régulation de l’Intelligence Artificielle (IA) dans le secteur de la Communication audiovisuelle et numérique en Afrique.
Pour rappel, créé en 1998 à Libreville au Gabon et régi par la Convention du 17 décembre 2011 adoptée à Arusha, modifiant la Convention du 27 septembre 2002 de Johannesburg, modifiant celle du 5 juin 1998 portant création du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication, le RIARC constitue le cadre multilatéral de coopération et de concertation entre les instances de régulation de la communication du continent africain et contribue à asseoir l’autorité technique, professionnelle et institutionnelle de ses 37 instances membres issues des pays africains francophones, anglophones, lusophones et arabophones.
L’objectif premier du Réseau est de renforcer la contribution des régulateurs des médias à la consécration d’un paysage audiovisuel africain pluraliste, promoteur de la diversité des sociétés africaines, respectueux des principes des droits humains et vecteur des valeurs démocratiques et humanistes.