Le Sipen-Uemoa 2024 a été un succès. (Ph: Dr)
Sipen-Uemoa 2024 : Le secteur privé réfléchit sur le financement et la souveraineté numérique
Co-organisé par le Groupement des opérateurs du secteur des technologies de l’information et la communication (Gotic) et le Regroupement des organisations des professionnels des Tic (Roptic), la 2e édition du Salon international des professionnels de l'économie numérique (Sipen-Uemoa) s’est tenue le vendredi 29 novembre 2024, à Abidjan.
Il a été question de sensibiliser à l'importance du financement pour la souveraineté numérique.
Ekissi Narcisse, directeur de cabinet, représentant le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation de la Côte d’Ivoire, a salué les organisateurs pour cette initiative qui avait pour thème : « Le financement du secteur privé, un défi majeur pour la souveraineté numérique dans l’espace Uemoa ».
Il a révélé que cette 2e édition s'inscrit dans la vision du Président Alassane Ouattara qui a placé l'inclusion numérique au cœur de la transformation des sociétés pour impulser la dynamique économique et la création d'emplois.
Dans son exposé, il a soutenu que le développement d'une économie numérique solide repose en grande partie sur la vitalité de son secteur privé et sur particulièrement son financement.
Malheureusement, les entreprises privées font face à l'ennemi majeur qui est l'accès au financement. Car dit-il, les mécanismes traditionnels de financement ne répondent pas toujours aux besoins spécifiques de ce secteur dynamique et innovant. Pour lui, il est crucial de développer des mécanismes adaptés. D’où la bienvenue dudit salon.
Abondant dans le sens, Antoine NGom, président du Rop-Tic, a noté l’urgence de repenser les mécanismes financiers pour libérer le potentiel numérique de l’Uemoa et de relever les défis économiques du XXIe siècle.
La souveraineté numérique étant un impératif pour garantir la sécurité des données et préserver l’autonomie face aux défis de demain, le financement dans l’espace Uemoa est un défi de taille. Mais également une opportunité stratégique pour renforcer la souveraineté numérique.
« En facilitant l’accès au financement et en créant des partenariats solides entre les acteurs publics, privés et financiers, nous avons l’opportunité de positionner l’Uemoa en tant que leader de la transformation numérique en Afrique », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter que l’accès aux financements adéquats permettra de concrétiser des projets innovants, de développer les infrastructures locales et de garantir la compétitivité de nos économies.
Selon lui, le moment est venu de saisir cette chance et de travailler ensemble pour un avenir numérique prospère pour les peuples. Un avis partagé par Paul Koffi Koffi, commissaire en charge du développement de l’entreprise, des mines, de l’énergie et de l’économie numérique Uemoa et Laurent Gnon, président du Gotic.
Pour ces derniers, aucun doute que le "Sipen-Uemoa" permettra de trouver ensemble des solutions afin de mieux tirer profit de l’économie numérique et de la protéger. Ce, pour avoir un secteur privé assez fort.
Ekissi Narcisse, directeur de cabinet, représentant le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation de la Côte d’Ivoire, a salué les organisateurs pour cette initiative qui avait pour thème : « Le financement du secteur privé, un défi majeur pour la souveraineté numérique dans l’espace Uemoa ».
Il a révélé que cette 2e édition s'inscrit dans la vision du Président Alassane Ouattara qui a placé l'inclusion numérique au cœur de la transformation des sociétés pour impulser la dynamique économique et la création d'emplois.
Dans son exposé, il a soutenu que le développement d'une économie numérique solide repose en grande partie sur la vitalité de son secteur privé et sur particulièrement son financement.
Malheureusement, les entreprises privées font face à l'ennemi majeur qui est l'accès au financement. Car dit-il, les mécanismes traditionnels de financement ne répondent pas toujours aux besoins spécifiques de ce secteur dynamique et innovant. Pour lui, il est crucial de développer des mécanismes adaptés. D’où la bienvenue dudit salon.
Abondant dans le sens, Antoine NGom, président du Rop-Tic, a noté l’urgence de repenser les mécanismes financiers pour libérer le potentiel numérique de l’Uemoa et de relever les défis économiques du XXIe siècle.
La souveraineté numérique étant un impératif pour garantir la sécurité des données et préserver l’autonomie face aux défis de demain, le financement dans l’espace Uemoa est un défi de taille. Mais également une opportunité stratégique pour renforcer la souveraineté numérique.
« En facilitant l’accès au financement et en créant des partenariats solides entre les acteurs publics, privés et financiers, nous avons l’opportunité de positionner l’Uemoa en tant que leader de la transformation numérique en Afrique », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter que l’accès aux financements adéquats permettra de concrétiser des projets innovants, de développer les infrastructures locales et de garantir la compétitivité de nos économies.
Selon lui, le moment est venu de saisir cette chance et de travailler ensemble pour un avenir numérique prospère pour les peuples. Un avis partagé par Paul Koffi Koffi, commissaire en charge du développement de l’entreprise, des mines, de l’énergie et de l’économie numérique Uemoa et Laurent Gnon, président du Gotic.
Pour ces derniers, aucun doute que le "Sipen-Uemoa" permettra de trouver ensemble des solutions afin de mieux tirer profit de l’économie numérique et de la protéger. Ce, pour avoir un secteur privé assez fort.