RD Congo : Le retrait des forces onusiennes, un fâcheux précédent ?
De nombreux médias internationaux dont TV5Monde ce sont fait écho le 7 juin 2023 de ce que l'Onu étudie comment retirer sa force de maintien de la paix en RD Congo "le plus rapidement possible" mais de manière "graduelle et responsable".
Que l’une des missions les plus importantes et plus coûteuses de l’Onu au monde, la Monusco, anciennement Monuc, présente en RD Congo depuis 1999 et forte d’environ 16 000 soldats, se retire sur un constat d’échec et d’impuissance, n’est-ce pas ouvrir la boîte de Pandore ?
Cela voudrait-il dire qu’il existerait des moyens de faire reculer l’Onu ou de la mettre en échec ? N’est-ce pas donner du grain à moudre à ceux qui voient dans les opérations des Nations unies un système d’exploitation et de prédation organisé pour piller les richesses, notamment minières de pays en développement ? Que doit-on retenir de l’intervention des Nations unies au cœur de l’Afrique depuis un quart de siècle ?
Le projet est-il encore viable ? Que doit-on comprendre quand le Secrétaire général lui-même, à quelques heures plutôt indique que le système financier international actuel n’est pas inclusif et qu’il faille le réformer pour plus de justice ? Les nombreuses difficultés autour du fonctionnement de l’Omc, de la Cour internationale de justice, du Conseil des droits de l’homme, entre autres...
Les nombreux appels et coup de gueule d’Antonio Guterres qui semblent tomber dans des oreilles de sourds... La réforme du système des Nations unies tant annoncée permettra-t-elle d’adresser efficacement toutes ces préoccupations ?
Cela voudrait-il dire qu’il existerait des moyens de faire reculer l’Onu ou de la mettre en échec ? N’est-ce pas donner du grain à moudre à ceux qui voient dans les opérations des Nations unies un système d’exploitation et de prédation organisé pour piller les richesses, notamment minières de pays en développement ? Que doit-on retenir de l’intervention des Nations unies au cœur de l’Afrique depuis un quart de siècle ?
Le projet est-il encore viable ? Que doit-on comprendre quand le Secrétaire général lui-même, à quelques heures plutôt indique que le système financier international actuel n’est pas inclusif et qu’il faille le réformer pour plus de justice ? Les nombreuses difficultés autour du fonctionnement de l’Omc, de la Cour internationale de justice, du Conseil des droits de l’homme, entre autres...
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