Sortie de l'album ‘’Tchatcho’’: L’Empereur Bassamuka en croisade contre la dépigmentation
Après les singles ‘’Langage vérité’’ (2010), Sweet Mother (2019) et l’album Boussole (2014), le comédien-chanteur L’Empereur Bassamuka est de retour dans le paysage musical ivoirien avec un single intitulé Tchatcho (Dépigmentation).
L’artiste pluridimensionnel a porté ses habits de sentinelle de la société pour s’engager dans la lutte contre la dépigmentation de la peau.
« L'idée de la réalisation de single est partie du constat que de plus en plus des jeunes filles et garçons mineures pratiquent la dépigmentation du fait qu'ils prennent comme modèles, les adultes ou des vedettes qui se dépigmentent. Ça m'a choqué vu que la jeunesse doit s'inspirer de vrais et bons modèles pour incarner et perpétuer les vraies valeurs. Ensuite, devant le taux élevé de maladies graves (Cancer de la peau, tension artérielle, insuffisance rénale...) et de décès liés à ce fléau, je ne pouvais rester muet », a justifié Mamadou Diomandé, alias Bassamuka.
Sur ce single orchestré en Afrobeat avec des soupçons de reggae, il est en featuring avec une des valeurs montantes de la musique africaine, le rappeur sénégalais Oliblez qu’il a rencontré lors de la 5e édition de Yop Reggae Festival, un rendez-vous culturel dont il est l’initiateur.
« Le courant est vite passé entre Oliblez et moi car nous nous inscrivons dans la vision de l'intégration africaine par la culture. Ainsi donc, je lui ai soumis le projet du single Tchatcho auquel il a participé vu que le fléau est en parfaite croissance dans nos deux pays », se souvient Bassamuka qui avoue que sa démarche lui vaut des piques de la part des adeptes de la dépigmentation.
N’empêche, clarifie-t-il, « je ne cède pas aux humeurs et émotions parce que je suis pour le bien-être des populations. Ne pas réagir serait trahir mon devoir d'artiste. Mon message est que les Africains balayent de leur esprit le complexe d'infériorité face à la race blanche. Qu'ils soient fiers de la couleur de leur peau parce que y a pas mieux. Enfin qu'ils comprennent que la Dépigmentation c'est de l'autodestruction. Donc qu'ils arrêtent de se Tcha ».
Entre planches de théâtre, cinéma et musique, l’Empereur Bassamuka tisse allégrement sa toile artistique et invite les mélomanes à découvrir son nouveau single disponible sur les toutes les plateformes légales de téléchargement.
« L'idée de la réalisation de single est partie du constat que de plus en plus des jeunes filles et garçons mineures pratiquent la dépigmentation du fait qu'ils prennent comme modèles, les adultes ou des vedettes qui se dépigmentent. Ça m'a choqué vu que la jeunesse doit s'inspirer de vrais et bons modèles pour incarner et perpétuer les vraies valeurs. Ensuite, devant le taux élevé de maladies graves (Cancer de la peau, tension artérielle, insuffisance rénale...) et de décès liés à ce fléau, je ne pouvais rester muet », a justifié Mamadou Diomandé, alias Bassamuka.
Sur ce single orchestré en Afrobeat avec des soupçons de reggae, il est en featuring avec une des valeurs montantes de la musique africaine, le rappeur sénégalais Oliblez qu’il a rencontré lors de la 5e édition de Yop Reggae Festival, un rendez-vous culturel dont il est l’initiateur.
« Le courant est vite passé entre Oliblez et moi car nous nous inscrivons dans la vision de l'intégration africaine par la culture. Ainsi donc, je lui ai soumis le projet du single Tchatcho auquel il a participé vu que le fléau est en parfaite croissance dans nos deux pays », se souvient Bassamuka qui avoue que sa démarche lui vaut des piques de la part des adeptes de la dépigmentation.
N’empêche, clarifie-t-il, « je ne cède pas aux humeurs et émotions parce que je suis pour le bien-être des populations. Ne pas réagir serait trahir mon devoir d'artiste. Mon message est que les Africains balayent de leur esprit le complexe d'infériorité face à la race blanche. Qu'ils soient fiers de la couleur de leur peau parce que y a pas mieux. Enfin qu'ils comprennent que la Dépigmentation c'est de l'autodestruction. Donc qu'ils arrêtent de se Tcha ».
Entre planches de théâtre, cinéma et musique, l’Empereur Bassamuka tisse allégrement sa toile artistique et invite les mélomanes à découvrir son nouveau single disponible sur les toutes les plateformes légales de téléchargement.