Convoqué par le Conseil de discipline de son parti : Jean-Louis Billon plaide pour un léger report
Le candidat déclaré à la présidentielle de 2025, Jean-Louis Billon, a reçu le 28 novembre 2024, une convocation du Conseil de discipline du Pdci-Rda, son parti politique.
En effet, le Conseil de discipline et de l’ordre du Bélier, en sa session du 26 novembre et conformément aux articles 90 des statuts 111 et suivants du règlement intérieur du Pdci-Rda, a convoqué Jean-Louis Billon.
Deux jours après cette convocation, le candidat déclaré à la présidentielle de 2025 a donné sa position. « Attaché au respect des textes et des institutions, je réaffirme ma pleine disposition à répondre à la convocation du Conseil de discipline du Pdci-Rda. Toutefois, en raison d’un engagement à l’étranger prévu de longue date, je sollicite respectueusement un report de cette comparution aux dates du 9 ou 10 décembre 2024 », a indiqué Jean-Louis Billon le samedi 30 novembre 2024, sur sa page Facebook.
Le Conseil juridique du député de Dabakala, Lossomann Diomandé, a ajouté que son client a un engagement à honorer à l’étranger prévu de longue date. C’est pourquoi, il souhaite le report de cette comparution aux dates du 9 ou 10 décembre 2024.
Le Conseil devrait attendre le mercredi 4 décembre, à la Maison du Pdci-Rda à Cocody, à l’effet de répondre « des actes d’atteinte à l’unité du parti et à ses intérêts, et d’insoumission aux décisions du parti ».
Selon les termes de la convocation signée de Me Lynda Dadié-Sangaret, présidente du Conseil de discipline et de l’ordre du Bélier du Pdci-Rda, il est loisible au délégué de Dabakala de se faire assister par un avocat ou tout militant de son choix.
La convocation précise que ce militant doit être membre du bureau politique. Il faut rappeler que le député de Pacobo-Taabo, Kouassi Kouakou Eugène, membre du bureau politique, avait saisi le Conseil de discipline du Pdci-Rda. Cet organe du parti septuagénaire avait rejeté sa saisine pour défaut de procédure interne.
Le chef du secrétariat exécutif du Pdci-Rda, Dr Sylvestre Emmou, a fait une sortie médiatique dans un quotidien ivoirien, afin de fustiger les attitudes de « défiance au président du parti et de sabotage de l’unité du parti par Jean-Louis Billon », déclarant que ces fautes méritent une sanction, selon les textes du parti.
Deux jours après cette convocation, le candidat déclaré à la présidentielle de 2025 a donné sa position. « Attaché au respect des textes et des institutions, je réaffirme ma pleine disposition à répondre à la convocation du Conseil de discipline du Pdci-Rda. Toutefois, en raison d’un engagement à l’étranger prévu de longue date, je sollicite respectueusement un report de cette comparution aux dates du 9 ou 10 décembre 2024 », a indiqué Jean-Louis Billon le samedi 30 novembre 2024, sur sa page Facebook.
Le Conseil juridique du député de Dabakala, Lossomann Diomandé, a ajouté que son client a un engagement à honorer à l’étranger prévu de longue date. C’est pourquoi, il souhaite le report de cette comparution aux dates du 9 ou 10 décembre 2024.
Le Conseil devrait attendre le mercredi 4 décembre, à la Maison du Pdci-Rda à Cocody, à l’effet de répondre « des actes d’atteinte à l’unité du parti et à ses intérêts, et d’insoumission aux décisions du parti ».
Selon les termes de la convocation signée de Me Lynda Dadié-Sangaret, présidente du Conseil de discipline et de l’ordre du Bélier du Pdci-Rda, il est loisible au délégué de Dabakala de se faire assister par un avocat ou tout militant de son choix.
La convocation précise que ce militant doit être membre du bureau politique. Il faut rappeler que le député de Pacobo-Taabo, Kouassi Kouakou Eugène, membre du bureau politique, avait saisi le Conseil de discipline du Pdci-Rda. Cet organe du parti septuagénaire avait rejeté sa saisine pour défaut de procédure interne.
Le chef du secrétariat exécutif du Pdci-Rda, Dr Sylvestre Emmou, a fait une sortie médiatique dans un quotidien ivoirien, afin de fustiger les attitudes de « défiance au président du parti et de sabotage de l’unité du parti par Jean-Louis Billon », déclarant que ces fautes méritent une sanction, selon les textes du parti.