le président de la Fif, n'est pas très content de son entraîneur (DR)
Éléphants : Idriss Diallo met la pression sur Gasset
Le patron du football ivoirien, Yacine Idriss Diallo n’est pas content. Il ne l’a pas clairement exprimé, mais à demi-mot, voilà ce qu’il a confié, après une rencontre de vérité avec le sélectionneur national, Jean-Louis Gasset : « Nous avons échangé, le sélectionneur national et moi. Nous sommes clairement engagés dans la dernière ligne droite. Les essais de joueurs, c’est terminé ! Maintenant, il est question de choisir la liste des 25 commandos ou maximum 30 joueurs qui vont nous accompagner à la compétition ».
En clair, le président de la Fif ne veut plus de tâtonnement. Il a promis au Chef de l’État une équipe commando lors de la Can que le pays va organiser du 13 janvier au 11 février 2024. Et ce qu’il a vu sur le terrain de Ndola ressemble à une plaisanterie de mauvais goût.
C’est que cela fait un an que le sélectionneur national est à la tête des Éléphants de Côte d’Ivoire. « Et pendant tout ce temps, selon le rapport qu’il m’a remis, il a utilisé 48 joueurs sur l’ensemble des matchs que la Côte d’Ivoire a disputés. Il m’avait dit qu’il allait essayer tous les joueurs susceptibles d’apporter un plus à l’équipe... Jusque-là, je le regardais », a confié l’homme fort du football local.
La cuisante défaite (3-0) subie face à la Zambie, le 17 juin dernier, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
« Au cours de ce match à vite oublier, on n’a pas senti la griffe de l’entraîneur. Au contraire, il a étalé son impuissance dans la presse. Avouant que tout est à repenser. On a trois mois pour bien réfléchir aux situations, mais surtout aux solutions qui vont être devant nous », a déclaré le sélectionneur national dans la presse.
A six mois de la Coupe d’Afrique des nations de football (Can), cette sortie du technicien français sonne comme un aveu d’impuissance. Qu’a-t-il fait donc pendant un an ? Si c’est maintenant qu’il doit tout repenser...
En tout cas, la sortie du président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) arrive à propos. Jean-Louis Gasset a déjà du beau monde sous les bras. Sur le papier, la Côte d’Ivoire a l’une des meilleures équipes du continent. Il lui appartient de tirer le meilleur de ce groupe.
Pour ce faire, il doit pouvoir prendre ses responsabilités. Gasset est là pour un objectif précis : bâtir une équipe nationale de Côte d’Ivoire capable de battre n’importe quelle formation de la planète. Cela est possible. A condition qu’il redonne une âme à ce groupe.
C’est que cela fait un an que le sélectionneur national est à la tête des Éléphants de Côte d’Ivoire. « Et pendant tout ce temps, selon le rapport qu’il m’a remis, il a utilisé 48 joueurs sur l’ensemble des matchs que la Côte d’Ivoire a disputés. Il m’avait dit qu’il allait essayer tous les joueurs susceptibles d’apporter un plus à l’équipe... Jusque-là, je le regardais », a confié l’homme fort du football local.
La cuisante défaite (3-0) subie face à la Zambie, le 17 juin dernier, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
« Au cours de ce match à vite oublier, on n’a pas senti la griffe de l’entraîneur. Au contraire, il a étalé son impuissance dans la presse. Avouant que tout est à repenser. On a trois mois pour bien réfléchir aux situations, mais surtout aux solutions qui vont être devant nous », a déclaré le sélectionneur national dans la presse.
A six mois de la Coupe d’Afrique des nations de football (Can), cette sortie du technicien français sonne comme un aveu d’impuissance. Qu’a-t-il fait donc pendant un an ? Si c’est maintenant qu’il doit tout repenser...
En tout cas, la sortie du président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) arrive à propos. Jean-Louis Gasset a déjà du beau monde sous les bras. Sur le papier, la Côte d’Ivoire a l’une des meilleures équipes du continent. Il lui appartient de tirer le meilleur de ce groupe.
Pour ce faire, il doit pouvoir prendre ses responsabilités. Gasset est là pour un objectif précis : bâtir une équipe nationale de Côte d’Ivoire capable de battre n’importe quelle formation de la planète. Cela est possible. A condition qu’il redonne une âme à ce groupe.