Me Siaka Méité, président de la Fédération de Wushu. (Ph: Dr)
8e championnat africain de Kung fu Wushu : Une occasion pour faire briller la Côte d’Ivoire
La Côte d’Ivoire organisera, du 20 au 25 juillet, le huitième championnat africain de Kung fu Wushu. Le Palais des Sports de Treichville sera le théâtre de cet événement majeur qui va mobiliser une quinzaine de pays du continent.
Pour donner plus de détails sur le spectacle, Me Siaka Méité et des membres de la Fédération ivoirienne d’arts martiaux chinois (Fiamc) ont prononcé une conférence de presse de lancement, mardi, dans les locaux de leur partenaire Akym communication, à la Riviera III.
« Ce championnat africain marque la reprise officielle des activités depuis la crise sanitaire de Covid-19 », a précisé le président Siaka Méité, un administrateur des services financiers, fou des arts martiaux chinois. Qui a longtemps fait ses preuves à la Fédération ivoirienne de Karaté arts martiaux chinois et disciplines associées (Fikamcda), avant de prendre les rênes de la Fiamc.
Il était, jusqu’à septembre 2006, secrétaire général de Hanshi Soumahoro Konoba, président de la Fikamcda. Ils avaient passé la main à Me Yaï Vincent qui venait d’être élu à la tête de la faîtière.
Me Siaka Méité a profité de la 8e édition du championnat africain pour réaffirmer que la Côte d’Ivoire reste et demeure une terre des arts martiaux. Aussi a-t-il fait un bref rappel du parcours de la Fédération ivoirienne de Wushu, en 15 ans d'existence.
Un bilan partiel éloquent qui pousse la Côte d’Ivoire à viser le top niveau, à ce rendez-vous continental. « Nous avons trois objectifs en organisant cette huitième édition. D’abord, nous voulons réussir l’organisation. Ensuite, défendre notre statut en restant au sommet. Enfin, nous voulons que tous ceux qui viendront prendre part à la fête avec nous repartent avec une bonne image de nous et de notre pays », a ajouté Me Siaka Méité.
La Côte d'Ivoire présentera 18 athlètes dont 5 dames. Parmi elles, trois seront inscrites au combat (sanda) et deux en tao. Selon les informations données par la Direction technique nationale (Dtn), les athlètes ivoiriens qui se préparent dans de bonnes conditions sont très motivés.
« Ce championnat africain marque la reprise officielle des activités depuis la crise sanitaire de Covid-19 », a précisé le président Siaka Méité, un administrateur des services financiers, fou des arts martiaux chinois. Qui a longtemps fait ses preuves à la Fédération ivoirienne de Karaté arts martiaux chinois et disciplines associées (Fikamcda), avant de prendre les rênes de la Fiamc.
Il était, jusqu’à septembre 2006, secrétaire général de Hanshi Soumahoro Konoba, président de la Fikamcda. Ils avaient passé la main à Me Yaï Vincent qui venait d’être élu à la tête de la faîtière.
Me Siaka Méité a profité de la 8e édition du championnat africain pour réaffirmer que la Côte d’Ivoire reste et demeure une terre des arts martiaux. Aussi a-t-il fait un bref rappel du parcours de la Fédération ivoirienne de Wushu, en 15 ans d'existence.
Un bilan partiel éloquent qui pousse la Côte d’Ivoire à viser le top niveau, à ce rendez-vous continental. « Nous avons trois objectifs en organisant cette huitième édition. D’abord, nous voulons réussir l’organisation. Ensuite, défendre notre statut en restant au sommet. Enfin, nous voulons que tous ceux qui viendront prendre part à la fête avec nous repartent avec une bonne image de nous et de notre pays », a ajouté Me Siaka Méité.
La Côte d'Ivoire présentera 18 athlètes dont 5 dames. Parmi elles, trois seront inscrites au combat (sanda) et deux en tao. Selon les informations données par la Direction technique nationale (Dtn), les athlètes ivoiriens qui se préparent dans de bonnes conditions sont très motivés.