Personnes du 3e âge : Un atelier adresse les défis de leur assistance
Un atelier réunissant des délégations venues de l’Afrique de l’Ouest, du Centre et d’Europe s’est penché récemment sur les défis de l’accompagnement des personnes du troisième âge. C'était au Centre épiscopal régional de l’Afrique de l’Ouest au Deux-Plateaux Aghien, dans la commune de Cocody.
Organisée par l’Association Petits Frères des Pauvres, en collaboration avec la Fondation internationale bien vieillir en Afrique (Fibva), la rencontre visait à mettre en place une plateforme d’échange et de mutualisation du travail des associations africaines en charge des personnes du troisième âge et leurs consœurs européennes. Notamment celles de France et de Belgique pour une meilleure prise en charge de cette tranche vulnérable de la société.
A l’occasion, Barbara Bringuier, présidente de l’Association Petits Frères des Pauvres, institution française d’utilité publique, a partagé l’expérience de son organisation. « Nous avons un savoir-faire à partager avec les associations des pays africains pour gérer au mieux les personnes du troisième âge », a situé Mme Bringuier.
Selon elle, le partage d’expériences doit permettre à chaque organisation de trouver des solutions en lien à son contexte propre. « L’idée, c’est que chacun puisse trouver des solutions conformément à son environnement culturel, social et économique », a indiqué la conférencière. Qui a estimé que le modèle occidental de gestion des personnes âgées n’est pas nécessairement « la meilleure solution pour finir ses jours ».
Les thématiques abordées au cours des trois jours de réflexion ont tourné autour de comment pérenniser et consolider les associations, notamment sur la recherche de fonds en interne mais aussi à l’international ; la question du bénévolat (comment on engage les citoyens sur la problématique de l’isolement social) et enfin comment opérationnaliser la plateforme.
Laurent Ayemou, secrétaire exécutif de la Fondation internationale bien vieillir en Afrique, a, au nom d'Hélène Diarra, présidente de la Fibva, remercié l’Association Petits Frères des Pauvres pour son initiative de faire bénéficier les associations africaines de ses 77 ans d’expérience en la matière.
Selon les chiffres du dernier Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph 2021), la Côte d’Ivoire compte 1 253 620 personnes âgées de plus de 60 ans.
Firmin NDri Bonfils
A l’occasion, Barbara Bringuier, présidente de l’Association Petits Frères des Pauvres, institution française d’utilité publique, a partagé l’expérience de son organisation. « Nous avons un savoir-faire à partager avec les associations des pays africains pour gérer au mieux les personnes du troisième âge », a situé Mme Bringuier.
Selon elle, le partage d’expériences doit permettre à chaque organisation de trouver des solutions en lien à son contexte propre. « L’idée, c’est que chacun puisse trouver des solutions conformément à son environnement culturel, social et économique », a indiqué la conférencière. Qui a estimé que le modèle occidental de gestion des personnes âgées n’est pas nécessairement « la meilleure solution pour finir ses jours ».
Les thématiques abordées au cours des trois jours de réflexion ont tourné autour de comment pérenniser et consolider les associations, notamment sur la recherche de fonds en interne mais aussi à l’international ; la question du bénévolat (comment on engage les citoyens sur la problématique de l’isolement social) et enfin comment opérationnaliser la plateforme.
Laurent Ayemou, secrétaire exécutif de la Fondation internationale bien vieillir en Afrique, a, au nom d'Hélène Diarra, présidente de la Fibva, remercié l’Association Petits Frères des Pauvres pour son initiative de faire bénéficier les associations africaines de ses 77 ans d’expérience en la matière.
Selon les chiffres du dernier Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph 2021), la Côte d’Ivoire compte 1 253 620 personnes âgées de plus de 60 ans.
Firmin NDri Bonfils