Droits des enfants en Afrique de l’Ouest et centrale: La Côte d’Ivoire présente les engagements pris à Brazzaville
La Côte d’Ivoire et 32 autres pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre (Aoc) ont pris des engagements à Brazzaville pour répondre efficacement aux besoins des adolescents et des jeunes garçons et filles dans les domaines de l’éducation et du service de la santé sexuelle et reproductive (Sssr).
Hier, en présence de plusieurs personnalités, le contenu de cet engagement a été restitué, à la salle de conférence du Conseil national des droits de l’homme (Cndh).
L’objectif principale de cette présentation aux autorités et partenaires est de vulgariser la déclaration portant sur « l’éducation sauve des vies » qui est un processus lancé en 2019 dans certains pays et met les enfants, les jeunes et adolescents au centre des questions éducatives, de la santé, des droits humains, etc.
Elle présente également la déclaration des pays de l’Aoc et ouvre la voie sur la création d’un groupe d’appui technique (Gat), afin de contribuer à une meilleure santé et au bien-être de cette frange de la population.
Vu la pertinence du sujet, Namizata Sangaré, présidente du Cndh, a marqué l’adhésion entière de sa structure à l’évènement qui permettra, assurément, à l’ensemble des autorités administratives et institutionnelles, au secteur privé ainsi qu’aux représentants de la société civile, de s’approprier la Déclaration de Brazzaville et de s’y engager résolument au regard de leurs missions.
Pour elle, la vision de l’Engagement de l’Aoc est d’avoir, sur ces espaces, des adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé, responsables, acteurs du développement de leurs familles, de leurs communautés et de leurs pays. Parce que « les jeunes qui représentent plus de 70 % de la population en Côte d’Ivoire, par exemple rencontrent plusieurs difficultés en matière d’emploi, de santé et d’éducation ; alors qu’ils représentent un espoir pour notre pays ».
Au nom du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, El Kebir Mdarhri Alaoui s’est réjoui de la mobilisation des autorités administratives et institutionnelles au plus haut niveau face à cette sollicitation de la jeunesse, espoir de demain. Car la proclamation de l’engagement est la résultante de tout un processus mis en œuvre en Côte d’Ivoire depuis 2020.
Ce processus, précise-t-il, a atteint son apogée avec l’organisation de la concertation nationale qui a réuni plusieurs parties prenantes. Cet exercice réalisé dans les 33 Pays a permis de produire un document consensuel pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Tout en restant confiant que les autorités ivoiriennes parviendront à donner aux jeunes de Côte d’Ivoire et d’ailleurs, l’espoir d’un épanouissement harmonieux dans un environnement sain et sauf, El Kebir Mdarhri Alaoui s’est félicité de l’implication des cinq agences du Système des Nations Unies dans la réalisation de cet engagement, à savoir l’Unesco, l’Unfpa, l’Unicef, l’OnuSida et l’Oms.
L’objectif principale de cette présentation aux autorités et partenaires est de vulgariser la déclaration portant sur « l’éducation sauve des vies » qui est un processus lancé en 2019 dans certains pays et met les enfants, les jeunes et adolescents au centre des questions éducatives, de la santé, des droits humains, etc.
Elle présente également la déclaration des pays de l’Aoc et ouvre la voie sur la création d’un groupe d’appui technique (Gat), afin de contribuer à une meilleure santé et au bien-être de cette frange de la population.
Vu la pertinence du sujet, Namizata Sangaré, présidente du Cndh, a marqué l’adhésion entière de sa structure à l’évènement qui permettra, assurément, à l’ensemble des autorités administratives et institutionnelles, au secteur privé ainsi qu’aux représentants de la société civile, de s’approprier la Déclaration de Brazzaville et de s’y engager résolument au regard de leurs missions.
Pour elle, la vision de l’Engagement de l’Aoc est d’avoir, sur ces espaces, des adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé, responsables, acteurs du développement de leurs familles, de leurs communautés et de leurs pays. Parce que « les jeunes qui représentent plus de 70 % de la population en Côte d’Ivoire, par exemple rencontrent plusieurs difficultés en matière d’emploi, de santé et d’éducation ; alors qu’ils représentent un espoir pour notre pays ».
Au nom du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, El Kebir Mdarhri Alaoui s’est réjoui de la mobilisation des autorités administratives et institutionnelles au plus haut niveau face à cette sollicitation de la jeunesse, espoir de demain. Car la proclamation de l’engagement est la résultante de tout un processus mis en œuvre en Côte d’Ivoire depuis 2020.
Ce processus, précise-t-il, a atteint son apogée avec l’organisation de la concertation nationale qui a réuni plusieurs parties prenantes. Cet exercice réalisé dans les 33 Pays a permis de produire un document consensuel pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Tout en restant confiant que les autorités ivoiriennes parviendront à donner aux jeunes de Côte d’Ivoire et d’ailleurs, l’espoir d’un épanouissement harmonieux dans un environnement sain et sauf, El Kebir Mdarhri Alaoui s’est félicité de l’implication des cinq agences du Système des Nations Unies dans la réalisation de cet engagement, à savoir l’Unesco, l’Unfpa, l’Unicef, l’OnuSida et l’Oms.