Simone Gbagbo, lors de la dédicace de son livre : "La Côte d’Ivoire a besoin de pardon"
L’ex-Première dame, Simone Ehivet Gbagbo, prône la réconciliation.
A la faveur de la dédicace de son œuvre "Du sous-sol de la République à la restauration" le samedi 15 juillet, à l’hôtel Palm Club à Cocody, elle a déclaré : « La Côte d’Ivoire a besoin de placer le pardon au centre de toutes ses actions. Si nous ne réalisons pas véritablement et correctement le pardon, notre pays va exploser et nous échapper ».
En effet, lors de cette cérémonie, elle a fait savoir que cet ouvrage relate son séjour carcéral d’où elle est sortie plus aguerrie et plus optimiste pour affronter la vie en vue de donner une forme à ses rêves et idéaux.
« Je ne crois pas que l’on aille faire la prison pour devenir plus fort. Je peux par contre dire que la prison m’a rendue plus forte. C’est une conséquence et non un objectif. C’est pourquoi on dit de ne pas faire d’un adversaire un martyr. La seule solution pour que le corps, l’âme et l’esprit soient sauvés, c’est le pardon », a-t-elle fait savoir au grand public venu la soutenir.
Simone Gbagbo, présidente du Mouvement des générations capables ( Mgc), a dit avoir écrit ce livre par devoir de mémoire. « J’ai commencé à écrire ce livre à Odienné et à l’école de la gendarmerie. Pour ne pas oublier, je me suis servi de toutes ces notes », a-t-elle soutenu.
Simone Gbagbo, après la dédicace, a animé, ce même jour, un panel avec la journaliste Cynthia Beckey et Ange-Félix N’Dakpri, président de l'Association des éditeurs de Côte d'Ivoire, qui l’interrogeaient.
De nombreuses personnalités ont pris part à cette cérémonie, entre autres, Charles Blé Goudé, Bro Grébé, Aka Ahizi, le Pasteur Mohamed Sanogo...
En effet, lors de cette cérémonie, elle a fait savoir que cet ouvrage relate son séjour carcéral d’où elle est sortie plus aguerrie et plus optimiste pour affronter la vie en vue de donner une forme à ses rêves et idéaux.
« Je ne crois pas que l’on aille faire la prison pour devenir plus fort. Je peux par contre dire que la prison m’a rendue plus forte. C’est une conséquence et non un objectif. C’est pourquoi on dit de ne pas faire d’un adversaire un martyr. La seule solution pour que le corps, l’âme et l’esprit soient sauvés, c’est le pardon », a-t-elle fait savoir au grand public venu la soutenir.
Simone Gbagbo, présidente du Mouvement des générations capables ( Mgc), a dit avoir écrit ce livre par devoir de mémoire. « J’ai commencé à écrire ce livre à Odienné et à l’école de la gendarmerie. Pour ne pas oublier, je me suis servi de toutes ces notes », a-t-elle soutenu.
Simone Gbagbo, après la dédicace, a animé, ce même jour, un panel avec la journaliste Cynthia Beckey et Ange-Félix N’Dakpri, président de l'Association des éditeurs de Côte d'Ivoire, qui l’interrogeaient.
De nombreuses personnalités ont pris part à cette cérémonie, entre autres, Charles Blé Goudé, Bro Grébé, Aka Ahizi, le Pasteur Mohamed Sanogo...