Une vue de l'intérieur de l'ouvrage. (Dr)

La construction de cette imposante infrastructure vise à impacter la compétitivité des entreprises, des échanges commerciaux, valoriser les produits artisanaux et à offrir une place de choix aux artisans, Pme, Start-ups et à l’industrie culturelle et créative.

Les activités qui s’y dérouleront auront également un effet positif sur la professionnalisation des filières de promoteurs de manifestations ou de spectacles et tous les secteurs du commerce et des services en rajoutant au Produit intérieur brut (Pib) de la Côte d’Ivoire.

« Par ses atouts, notamment sa position stratégique près de l’aéroport, sa grande capacité d’accueil, ses équipements et ses services à valeur ajoutée, à la pointe du modernisme, constitue un bon levier pour accroître notre taux de captation des grandes manifestations internationales », a souligné Souleymane Diarrassouba.

Mais au-delà, selon le vice-Président, cette infrastructure sera un instrument de valorisation des initiatives individuelles et collectives de la jeunesse.

« Au moment où nous mettons cette infrastructure en service, j’invite tous les acteurs économiques nationaux et internationaux à la considérer comme une vitrine et un marqueur du dynamise économique de la Côte d’Ivoire à l’échelle internationale », s’est félicité pour sa part, le vice-Président Tiémoko Méyliet Koné.

Cet ouvrage va d’ailleurs accueillir, dans les prochains mois, le Salon de l’agriculture (Sara 2023), le Marché ivoirien de l’artisanat (Miva), Archibat 2023 et les activités extra sportives de la prochaine Can de janvier 2024.

Au dire du ministre du Commerce, la construction de la phase I a été financée à hauteur de 75 milliards de FCfa. Les travaux réalisés par l’architecte Pierre Fakoury à travers son entreprise PFO auront duré trois ans.

Mais en fait, le projet du Parc des expositions d’Abidjan s’étend sur un site d’une superficie totale de 30 hectares, structuré en trois phases.